Oui mais pourquoi ? VoilĂ une bonne question Les gardiens d'immeuble L'histoire fait que les gardiens, concierges et employĂ©s d'immeuble ne sont pas inclus dans la loi 83-629. Notamment grace Ă la "circulaire Pandraud" en page 7 CLIQUEZ ICI pour la tĂ©lĂ©charger, mais certains diront qu'une circulaire n'a aucune valeur, d'autant que celle-ci n'a jamais Ă©tĂ© "publiĂ©e". Oui mais voilĂ , c'est la seule rĂ©fĂ©rence sĂ©rieuse pour l'interprĂ©tation de nombreux articles "tendancieux", notamment celui du champ d'application de la loi 83-629. Et cette circulaire Pandraud dit que les concierges d'immeubles ne sont pas soumis Ă la loi 83-629 car ils ont d'autres activitĂ©s que celle de la surveillance "proprement dite" comme par exemple la distribution du courrier, le mĂ©nage, etc.... Mais la sĂ©curitĂ© incendie est une activitĂ© "exclue", donc comme pour les tĂąches de notre gardien d'immeuble avec sa "distribution de courrier" ... d'oĂč l'incomprĂ©hension d'une position manquant de fermetĂ© du ministĂšre de l'intĂ©rieur avec la circulaire autorisant la sĂ©curitĂ© incendie dans les entreprises de sĂ©curitĂ© privĂ©e, avec un slalom juridque critiquable et trop nuancĂ©. Oublions cette circulaire Pandraud Mais alors oĂč est indiquĂ©e l'exclusion des gardiens d'immeuble de la loi 83-629 ? nulle part ... C'est bien lĂ le problĂšme, cette exclusion est une "interprĂ©tation". Une jurisprudence Cour de Cassation,Chambre sociale , du 16 janvier 2001 indique les salariĂ©s employĂ©s en qualitĂ© de surveillant par un syndicat de copropriĂ©taires sont exclus du champ d'application de la loi n° 83-629 du 12 juillet 1983 et du dĂ©cret n° 86-1099 du 10 octobre 1986 ; Mais l'histoire ne dit pas pourquoi les juges ont "dĂ©cidĂ©" d'exclure ce type de salariĂ©s. Sur quoi se sont-ils basĂ©s ? Pour anecdote, cette cour de cassation exclut en 2001 les agents de surveillance employĂ©s par un syndicat de copropriĂ©taires le syndicat des copropriĂ©taires possĂšde une personnalitĂ© morale... Puis en 2010, la modification de la loi 83-629 indique en son article 11-5 Les propriĂ©taires, exploitants ou affectataires d'immeubles ou groupes d'immeubles collectifs Ă usage d'habitation peuvent constituer une personne morale dont l'objet est l'exercice, pour le compte de ses membres, de l'activitĂ© mentionnĂ©e au 1° de l'article 1er, dans les conditions prĂ©vues par l'article L. 127-1 du code de la construction et de l'habitation. Donc un syndicat de copropriĂ©taires peut crĂ©er une "sĂ©curitĂ© interne" surveillant , non soumis Ă la loi 83-629 cf jurisprudence ... mais s'ils veulent crĂ©er une "personne morale" dĂ©diĂ© Ă ce type de prestations, ils seront soumis Ă la loi 83-629 cf article 11-5.... Bizarre non ?! incohĂ©rent, ça c'est sĂ»r ! BILAN On exclut les gardiens d'immeubles par "interprĂ©tation", car on considĂšre qu'ils ont d'autres activitĂ©s que la "surveillance" proprement dite. Une jurisprudence confirme en 2001 cette exclusion mais ne dit pas pourquoi ni comment, et permet aux syndicats de copropriĂ©taires d'embaucher des agents de sĂ©curitĂ© non soumis Ă la loi 83-629 ... MalgrĂ© cette position "quasi tranchĂ©e" mais pas officiellement, Ă part cette jurisprudence, qu'en est-il de la sĂ©curitĂ© incendie ? La sĂ©curitĂ© incendie ... exclue Ă moitiĂ© ? On exclut totalement les activitĂ©s de sĂ©curitĂ© incendie de la loi 83-629 cf position du ministĂšre de l'intĂ©rieur depuis mars 2009 avec la carte pro, puis avec les questions-rĂ©ponses de dĂ©putĂ©s,.... Puis on dit la derniĂšre circulaire que cela est une activitĂ© "connexe" avec une activitĂ© de sĂ©curitĂ© privĂ©e, tout en affirmant qu'une activitĂ© de sĂ©curitĂ© incendie est hors du champ d'application de la loi 83-629. Mais une activitĂ© "connexe" reste une activitĂ© "parallĂšle" , un complĂ©ment Ă la fonction d'agent de sĂ©curitĂ© privĂ©e. Si cette connexitĂ© ne pose pas de problĂšme si le site/batiment n'impose pas une EXCLUSIVITE de mission de sĂ©curitĂ© incendie agent de sĂ»retĂ© ayant aussi des fonctions gĂ©rant la sĂ©curitĂ© incendie d'un site, ou un agent de sĂ©curitĂ© incendie ayant aussi des fonctions de sĂ»retĂ©, elle va en poser un pour d'autres cas ... Dans certains ERP-IGH, un service de sĂ©curitĂ© incendie "dĂ©diĂ©" est imposĂ© respect de l'article MS 46 ... donc cela ne serait plus une activitĂ© "connexe", mais une activitĂ© Ă part entiĂšre, en dehors du champ d'application de la loi 83-629. Bref, "On dit" que les gardiens d'immeuble sont exclus de la loi 83-629, car ils ont des fonctions qui n'entrent pas dans le cadre de la loi 83-629. "On dit" qu'une activitĂ© de sĂ©curitĂ© incendie est exclue de la loi 83-629, car celle-ci n'entre pas dans le champ d'application de la loi 83-629. "On dit qu'une activitĂ© de sĂ©curitĂ© est connexe Ă des activitĂ©s de sĂ©curitĂ© privĂ©e, et que le cumul des deux activitĂ©s n'est pas "incompatible" hors imposition de l'article MS 46" -> ce qui du point de vue de la loi 83-629, est totalement lĂ©gal. " On dit qu'un service de sĂ©curitĂ© incendie "dĂ©diĂ©" peut etre assurĂ© par les entreprises de sĂ©curitĂ© privĂ©e" -> Bien que cette activitĂ© soit exclue de la loi 83-629 ... On se marche sur la tĂȘte, et le ministĂšre de l'intĂ©rieur avec cette circulaire n'a rien arrangĂ©. Il a juste "Ă©tabli" ce qui se passe actuellement, dans un brouillard juridique intense ... A quand une vĂ©ritable position du ministĂšre de l'intĂ©rieur ? Une refonte de la loi 83-629 ?Re Abus de pouvoir du conseil syndical. Article 4 : Les parties communes sont l'objet d'une propriĂ©tĂ© indivise entre l'ensemble des copropriĂ©taires ou certains d'entre eux seulement ; leur administration et leur jouissance sont organisĂ©es conformĂ©ment aux dispositions de la prĂ©sente loi. Article 6 : Les parties communes et les droits qui Bonjour, BX le 29/12/2010 PropriĂ©taire dans une copropriĂ©tĂ©, nous employons depuis le 9 /09/2010 pour une pĂ©riode' de 5 mois un homme comme gardien d' immeuble en CDD. Pour des raisons techniques nous devons prolonger son CDD de 5 mois. 1° la pĂ©riode de 5 mois en CDD est elle lĂ©gale 2° pouvons nous prolonger cette pĂ©riode de 5 mois , dans le cas positif qu'elle est la durĂ©e maximum. 3° la convention collective des gardiens d' immeuble N°3144 article 11 ne prĂ©cise pas de dĂ©rogation. J' aimerais savoir avec prĂ©cision votre avis sincĂšres salutations Bonjour, Il faudrait savoir pour quel motif, vous employez ce gardien d'immeuble en CDD... __________________________Cordialement. BX le 30/1/2010. RĂ©ponse au message 436 de tedforum du 29/12/2010 18h43. Bonjour, le motif est le suivant ,le 30 /03/2010 le gardien en poste a pris sa retraite. Lors de l' assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des copropriĂ©taires du mois de juin 2010,il a Ă©tĂ© demandĂ© par un vote le remplacement de cet employĂ©. Le syndic gĂ©rant s'est mis Ă la rechrche de cette personne depuis le 9 /09/2010 un homme a etĂ© embauchĂ© en CDD pour une durĂ©e de 5 mois jusqu' au 8/02/2011. Cette personne donnant entiere satisfaction il a Ă©tĂ© votĂ© en assemblĂ©e generale un accord pour l' embauchĂ© en CDI,mais un problĂ©me intervient le gardien doit etre logĂ© suivantla convention collective N° 3144 des gardiens d' immeuble cette loge n'etant pas en Ă©tat des travaux de refection doivent etre excutĂ©s. Par la loi aprĂ©s un vote les travaux ne peuvent commençer que 2 mois aprĂ©s , et les travaux vont durer envion 4 mois. Cest pour cette raison que nous voulions prolonger son CDD de 5 nois. L'article 11 de la N° 3144 ne fourni aucune prĂ©cision. Vos connaissances pourront surement nous indiquer le suivi excat de ce dossier 1° sommes nous dans la lĂ©galitĂ© avec le 1° CDD 2°Qu'elle est la durĂ©e maximum d' un CDD 3° vtre avis pour denouer ce dossier SincĂšres salutatios Bonjour, Je crois vous avoir dĂ©jĂ rĂ©pondu dans ce sujet Un CDD n'est pas fait pour se substituer Ă une pĂ©riode d'essai et comme l'emploi fait partie de l'activitĂ© normale, vous devriez embaucher directement le salariĂ© en CDI sans pĂ©riode d'essai puisque le premier CDD l'a dĂ©passĂ© dans sa durĂ©e, quitte Ă prĂ©voir des modalitĂ© particuliĂšres le temps que la loge soit en travaux... __________________________Cordialement. bonjour la gardienne d'immeuble prend sa retraite,mais demande Ă faire un cdd pour une durĂ©e de 18 mois quel doit etre son nouveau contrat salaire congĂ© et indemnitĂ© de depart merci de repondre
Ily a 10 ans, un gardien d'immeuble assassinait une jeune fille de 24 ans. Dans la nuit du 13 au 14 septembre 2005, Jean-Luc Cayez s'introduit, cagoulĂ© et muni d'un fusil ĂTime 7 mn 22 / [1/1] Parmi les crimes les plus graves qui existent, lâabus de pouvoir est un des plus terribles. Pourquoi lâabus de pouvoir ? Tout simplement parce que chaque homme de pouvoir exerce du pouvoir sur des personnes. Suivant le nombre de personnes quâun homme de pouvoir gouverne, il peut augmenter la gravitĂ© de son crime. Par exemple actuellement le Pentagone et lâOTAN font du mal Ă toute la population mondiale par leur abus de pouvoir. Comment exactement pratiquent-ils lâabus de pouvoir ? En abandonnant de plus en plus leur mission de dĂ©fense et en la tournant de leur propre chef en un pacte dâattaque. Les mĂ©dias de masse poursuivent cet abus de pouvoir parce que, au lieu de dĂ©noncer en public les violations hautement criminelles, ils les cachent, les justifient, les glorifient et rendent ainsi des peuples entiers consentants Ă la guerre. La justice de son cĂŽtĂ© conforte cet abus de pouvoir par son silence passif, câest-Ă -dire par son refus de faire son travail. Lâabus de pouvoir est Ă©galement le dĂ©lit le plus grave dâun point de vue Ă©thique et moral. Tout abus de pouvoir ressemble Ă un kidnapping, oĂč des victimes impuissantes et sans protection sont systĂ©matiquement abusĂ©es, torturĂ©es, tuĂ©es et abandonnĂ©es. Mais la forme la plus rĂ©pandue de lâabus de pouvoir ne se produit pas de maniĂšre si grossiĂšre et manifeste. Il passe plutĂŽt par le chemin du mensonge ciblĂ©, des prĂ©textes hypocrites et de la duperie sournoise. Câest comparable Ă une association caritative qui collecterait continuellement des dons pour les plus pauvres, mais qui les transmettrait en cachette Ă des associations terroristes dangereuses. La racine originale et la motivation de tous les abus de pouvoir se trouvent dans la cupiditĂ© et la soif de pouvoir. Malheureusement, ce que personne ne veut reconnaĂźtre vraiment, câest la rĂ©alitĂ© amĂšre et Ă©vidente Ă prĂ©sent les abus de pouvoir sont devenus lĂ©gion et ils sont littĂ©ralement omniprĂ©sents. Mais les peuples ressemblent Ă des petits enfants qui ne veulent ni entendre ni croire ni mĂȘme accepter dâenvisager que leurs parents commettent les crimes les plus graves. Pourtant il est temps de se rĂ©veiller, de devenir adulte et de dĂ©velopper une nouvelle sensibilitĂ© pour les abus de pouvoir. Lâabus de pouvoir implique naturellement que les personnes puissantes nâentreprennent rien contre, car beaucoup dâentre elles y sont mĂȘlĂ©es. Mais si maintenant les derniĂšres personnes sincĂšres parmi les hommes de pouvoir ne destituent pas, en association avec le peuple, tous les hommes coupables dâabus de pouvoir, il en sera bientĂŽt terminĂ© de la libertĂ© promise avec la musique, le pain et les jeux. Il faut quâon reconnaisse quâun trĂšs grand nombre de ces mĂ©tastases cancĂ©reuses de lâabus de pouvoir se sont installĂ©es partout dans notre vie quâon le reconnaisse au fait que le profit matĂ©riel des individus triomphe sur le bien-ĂȘtre et lâintĂ©rĂȘt de la collectivitĂ© dans presque toutes les sphĂšres de la vie. Presque tout est dirigĂ© par le profit. Presque toute la mĂ©decine et toute la science servent en premier lieu Ă augmenter le profit et pas vraiment Ă la santĂ©. Sous couvert de recherche, de protection de lâenvironnement et du climat etc. dâun cĂŽtĂ© on encaisse continuellement des sommes qui se comptent en billions, tandis que de lâautre cĂŽtĂ© on Ă©touffe de maniĂšre ciblĂ©e des nombreux acquis des technologies les plus Ă©cologiques. A lâĂ©chelle mondiale lâorganisme humain souffre des taxes coercitives contre-productives, Ă commencer par des redevances radiotĂ©lĂ©vision obligatoires et des assurances obligatoires devenant toujours plus chĂšres. De la mĂȘme maniĂšre que lâassurance immobiliĂšre obligatoire abuse de son pouvoir face aux propriĂ©taires dâimmeubles, cela se produit maintenant dans presque tous les autres secteurs dâassurance Dâun cĂŽtĂ© en augmentant les primes dâassurance de maniĂšre de plus en plus insupportable et de lâautre cĂŽtĂ© en intĂ©grant en douce de plus en plus de conditions de vente en petits caractĂšres dans les textes des contrats. Ces conditions de vente obligent les assurĂ©s Ă toujours plus de mesures supplĂ©mentaires coĂ»teuses Ă leurs propres frais. Et mĂȘme sâil ne sâagit que dâune certaine sorte de manique » convenue dans la clause⊠Si, par ignorance ou par contrainte financiĂšre, une personne forcĂ©e Ă sâassurer oublie une de ces clauses de sĂ©curitĂ© » qui sâajoutent tout le temps, les assurances refusent tout paiement en cas de sinistre. A travers toujours plus dâimpĂŽts, dâimpĂŽts supplĂ©mentaires et de taxes supplĂ©mentaires, lâEtat abuse de son pouvoir partout oĂč il le peut. AprĂšs que le contribuable a payĂ© toutes les routes, tous les parkings et les infrastructures publiques Ă ses propres frais, il est de plus en plus souvent forcĂ© chaque fois quâil sort de sa maison Ă payer des taxes supplĂ©mentaires sous forme de frais de stationnement, de pĂ©age dâautoroute, de taxes Ă©cologiques etc. Bien quâil soit largement connu depuis longtemps, lâabus de pouvoir de lâindustrie pharmaceutique et de la vaccination domine les soins de santĂ© alternatifs incomparablement moins chers. Bien quâelle soit meurtriĂšre, lâexposition forcĂ©e aux ondes est elle aussi poursuivie sans scrupules. Câest ici quâon voit lâabus de pouvoir des gĂ©ants de la tĂ©lĂ©phonie mobile qui sacrifient la santĂ© de peuples entiers pour profiter personnellement du maximum de bĂ©nĂ©fices. Et cela bien quâils le sachent pertinemment, comme nous lâavons prouvĂ© de maniĂšre concluante avec nos nombreuses Ă©missions et brochures. Mais le renforcement des antennes-relais continue sans ĂȘtre freinĂ© et les dangers pour la santĂ© gĂ©nĂ©rĂ©s par les technologies de transmission sans fil comme par exemple la Wifi ou le tĂ©lĂ©phone sans fil sont passĂ©s sous silence de façon irresponsable â câest un abus de pouvoir. Les dĂ©veloppeurs milliardaires de la technologie RFID abusent eux aussi de leur pouvoir en voulant obliger tous les humains Ă se faire implanter cette technologie de surveillance sous la peau⊠Et tout cela Ă lâencontre des avertissements trĂšs sĂ©vĂšres donnĂ©s dans des prophĂ©ties vieilles de 2 000 ans qui dĂ©crivaient trĂšs exactement cette technologie RFID et lâont strictement interdite. Encore une fois tout cela nâest que la petite partie visible dâun iceberg dont la partie cachĂ©e est indescriptiblement plus Ă©norme. Les abus apparaissent aussi dans le domaine des privatisations croissantes, mais aussi en ce qui concerne toute lâimmigration de masse, le trafic de femmes et dâenfants, la lĂ©galisation des drogues, lâidĂ©ologie du genre, lâĂ©ducation sexuelle prĂ©coce, la protection de lâenvironnement, la dĂ©mocratisation » forcĂ©e â des abus de pouvoir se cachent derriĂšre lâinterdiction de lâargent liquide qui va venir, les technologies de surveillance, les systĂšmes de libre-Ă©change etc., etc. ! Que cela puisse malgrĂ© tout provoquer cet appel, ce quâaucune parole humaine ne pourrait plus dĂ©crire, mĂȘme dans les grandes lignes. HumanitĂ© honnĂȘte, rĂ©veille-toi de ton sommeil profond et hypnotique, reconnais lâabus de pouvoir des exploiteurs des peuples qui est en cours. LĂšve-toi et unis-toi contre lui ! Source VidĂ©o [1] Abus de pouvoir des exploiteurs des peuples â Mr Aphadolie / YouTube Photo Pour illustration Ilest possible de prĂ©voir dans le contrat de travail que le lieu oĂč les tĂąches seront effectuĂ©es pourra ĂȘtre modifiĂ©. Cette clause de " mobilitĂ© " signifie que le salariĂ© renonce, par Le logement de fonction est un accessoire au contrat de travail. Il est attribuĂ© au salariĂ© en raison de ses fonctions par lâemployeur, notamment pour faciliter les conditions de travail ainsi que les dĂ©placements professionnels. Parfois mĂȘme, la mise Ă disposition de ce logement est un avantage pour attirer des talents, ces derniers faisant lâĂ©conomie dâune recherche de logement et dâun loyer. Toutefois, se pose la question du sort du logement de fonction en cas de rupture du contrat de travail. Le salariĂ© est-il autant protĂ©gĂ© quâun locataire classique ou bien doit-il plier bagage sans dĂ©lai ? Dans lâhypothĂšse de la mise Ă disposition dâun logement de fonction, câest lâemployeur qui est propriĂ©taire ou locataire du logement mis Ă la disposition du salariĂ©. Lors de la rupture du contrat, de nombreuses questions peuvent se poser sur les droits et obligations de chacun car le sort du logement de fonction nâest pas encadrĂ© par la Loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 sur les baux dâhabitation. En effet, la majeure partie de cette loi nâest pas applicable aux logements attribuĂ©s ou louĂ©s en raison de lâexercice dâune fonction ou de lâoccupation dâun emploi article 2, 3° de la Loi n° 89-462 du 6 juillet 1989. Dans certaines professions, par exemple celle des concierges, le sort du logement de fonction en cas de licenciement fait lâobjet dâun encadrement lĂ©gal et conventionnel. En dehors de quelques professions spĂ©cifiques, câest la jurisprudence qui est venue prĂ©ciser le minimum de rĂšgles applicables concernant le logement de fonction. La Cour de cassation estime que Le bĂ©nĂ©fice dâun logement de fonction est un avantage en nature accessoire au contrat de travail et prend fin en mĂȘme temps que lui ». [1] Ainsi, Ă la cessation du contrat de travail, le salariĂ© ne dispose dâaucun droit au maintien dans son logement. Le salariĂ© est donc tenu de le libĂ©rer Ă lâexpiration de son prĂ©avis. En lâabsence de prĂ©avis, le logement de fonction doit ĂȘtre libĂ©rĂ© dĂšs la cessation du contrat de travail sauf lorsque lâemployeur a fixĂ© un dĂ©lai pour quitter les lieux. [2] La jurisprudence admet de maniĂšre constante que le salariĂ© qui se maintient dans son logement de fonction au-delĂ du dĂ©lai imparti pour le libĂ©rer peut ĂȘtre condamnĂ© Ă payer Ă son ex-employeur une indemnitĂ© dâoccupation [3]. LâindemnitĂ© dâoccupation est donc due Ă partir du moment oĂč le salariĂ© bascule dans une situation dâoccupant sans droit ni titre. LâindemnitĂ© dâoccupation a une nature indemnitaire. [4] La fonction rĂ©paratrice de cette indemnitĂ© peut donc causer des difficultĂ©s quant Ă son Ă©valuation car un prĂ©judice est toujours dĂ©licat Ă dĂ©terminer. La Cour dâappel de Dijon a estimĂ© que lâindemnitĂ© dâoccupation devait ĂȘtre fixĂ©e Ă hauteur de lâavantage en nature dont le salariĂ© bĂ©nĂ©ficiait avant la rupture du contrat de travail. [5] Un arrĂȘt de Cour dâappel a quant Ă lui estimĂ© que lâindemnitĂ© dâĂ©viction devait ĂȘtre fixĂ©e par comparaison au montant des loyers et charges stipulĂ©s, pour un logement similaire ». [6] Dans dâautres arrĂȘts, le calcul retenu par lâemployeur, se fondant sur la valeur locative, a Ă©tĂ© validĂ© par la Cour dâappel. [7]. Dans tous les cas, mĂȘme si la mĂ©thode dâĂ©valuation reste incertaine, il paraĂźt impĂ©ratif de justifier le calcul de lâindemnitĂ© dâoccupation par des Ă©lĂ©ments objectifs. Ătant donnĂ© que la loi du 6 juillet 1989 nâest pas applicable, aucune forme particuliĂšre nâest requise pour demander au salariĂ© de libĂ©rer le logement de fonction. En revanche, au regard de lâimportance du logement concernant la vie privĂ©e et personnelle du salariĂ©, il nâest pas raisonnable dâexiger de lui une libĂ©ration des lieux immĂ©diatement aprĂšs la notification de la lettre du licenciement. MĂȘme si lâemployeur a le droit dâexiger une libĂ©ration du logement dĂšs la rupture du contrat en lâabsence de prĂ©avis, ne pas laisser au salariĂ© suffisamment de temps pour prendre ses dispositions pourrait ĂȘtre analysĂ© comme Ă©tant un abus de droit. Il pourrait ĂȘtre reprochĂ© Ă lâemployeur dâavoir fait preuve dâune lĂ©gĂšretĂ© blĂąmable en voulant expulser le salariĂ© avec prĂ©cipitation, ce qui peut potentiellement causer un prĂ©judice rĂ©parable. Personne ne peut dĂ©mĂ©nager du jour au lendemain sans dommage. Par prudence, il convient donc de laisser un salariĂ© un dĂ©lai raisonnable pour lui permettre de libĂ©rer le logement. Arthur TOURTET Avocat au Barreau des PyrĂ©nĂ©es-Orientales Recommandez-vous cet article ? Donnez une note de 1 Ă 5 Ă cet article Lâavez-vous apprĂ©ciĂ© ? Notes de l'article [1] Cour de cassation, chambre sociale, 14 juin 1972, PubliĂ© au bulletin. [2] Cour dâappel de Bastia 24 juillet 2013, n°12/00667 [3] Cour de cassation, chambre sociale, 24 mars 1965 n° publiĂ© au bulletin [4] Cour de cassation, chambre commerciale, 26 mai 1961 Bull. civ. IV, n° 233 et Cour de cassation, chambre sociale, 17 juillet 1997, PubliĂ© au bulletin. [5] Cour dâappel de Dijon. 19 sept. 2013. n° 12/01196 [6] Cour dâappel de Montpellier. 28 mai 2014. N° 13/06915 [7] Cour dâappel dâAix-en-Provence. 30 mai 2013. n° 12/17685 et Cour dâappel de Reims. 27 juin 2012. n° 10/02323
Vouspourriez aussi faire part de ces dĂ©sagrĂ©ments Ă votre Syndic. Si lâimmeuble est en copropriĂ©tĂ©, le syndic se chargera de prĂ©venir le propriĂ©taire. Nây a-t-il pas un gardien d'immeuble pour surveiller le hall ? Toutefois, lâidĂ©e que Domilegrand a proposĂ© pourrait ĂȘtre plus efficace et plus rapide : se mettre dâaccord avec tous les voisins et se liguer contre
Bonjour, Je suis gardien d'immeuble d'une copropriĂ©tĂ© de 179 logements et je suis actuelement en accident du travail depuis le 24 septembre 2020. Un membre du conseil syndical demande le rembourrsement de l'avantage en nature que je perçois soit 192 ⏠par mois, d'accident de travail, pour l'appartement de fonction que j'occupe. Je precise que ce logement sert aussi de loge pour la reception des colis et l'accueil des rĂ©sidents. Suis-je obligĂ© de rembourser ? et puis-je prĂ©tĂ©nde aux remboursements des 55 KW d'electricitĂ© puisque je n'ai pas de loge ? Merci et cordialement. DerniĂšre modification 12/04/2021 - par Tisuisse Superviseur Bonjour, Vous n'avez rien Ă rembourser et vous pourriez vous rĂ©fĂ©rer Ă l'ArrĂȘt de la Cour de cassation, civile, Chambre sociale, 26 janvier 2011, PubliĂ© au bulletin la non-exĂ©cution par le salariĂ© des permanences et des astreintes n'autorisait pas l'employeur Ă rĂ©clamer pour l'occupation, Ă titre personnel et professionnel, du logement de fonction, le paiement d'un loyer et de charges locatives, non prĂ©vu par les dispositions contractuelles et conventionnelles __________________________Cordialement. L'ArrĂȘt prĂ©citĂ© est Ă rapprocher sur le principe de l'avantage en nature, mĂȘme s'il s'agit d'un vĂ©hicule de fonction, de l'ArrĂȘt de la Cour de cassation, civile, Chambre sociale, 24 mars 2010, PubliĂ© au bulletin Attendu, d'autre part, qu'un vĂ©hicule de fonction, dont le salariĂ© conserve l'usage dans sa vie personnelle, ne peut, sauf stipulation contraire, ĂȘtre retirĂ© Ă l'intĂ©ressĂ© pendant une pĂ©riode de suspension du contrat de travail ; Et attendu qu'ayant constatĂ© que l'employeur avait repris, lors de l'arrĂȘt de travail de Mme X..., le vĂ©hicule de fonction qui lui Ă©tait attribuĂ©, la cour d'appel en a exactement dĂ©duit que ce comportement Ă©tait fautif et a ainsi justifiĂ© l'allocation de dommages et intĂ©rĂȘts pour le prĂ©judice subi du fait de cette privation ; Vont dans le mĂȘme sens que mon analyse Ă©largie Ă tout avantage en nature de logement de fonction ces dossiers - n° 1 - n° 2 __________________________Cordialement. Je rappelle ce qui nous est exposĂ© un membre du conseil syndical demande le remboursement de l'avantage en nature que je perçois Faire rembourser au salariĂ© un avantage en nature, il me semble que c'est le retirer et je rĂ©ponds donc Ă la question que c'est interdit sauf si c'est prĂ©vu au contrat de travail ou Ă la Convention Collective applicable... Il n'est pas question d'avantage en nature supplĂ©mentaire ni de loyer... __________________________Cordialement. Bonjour, Voici maintenant que c'est la personne qui nous interroge qui pose mal le problĂšme selon vous parce qu'il faudrait que ça puisse vous donner raison... Mais la rĂ©ponse que vous avez formulĂ©e l'est tout autant puisque nvous parliez de loyer, ce qui n'est pas le cas mĂȘme si vous prĂ©tendez que ça revient au mĂȘme... Ce qui revient au mĂȘme c'est que le salaire en nature fait partie intĂ©grante de la rĂ©munĂ©ration globale contractuelle et que donc l'employeur n'est pas fondĂ© Ă en demander le remboursement pendant la suspension du contrat de travail et en particulier pendant un arrĂȘt pour accident de travail.... C'est vous qui dĂźtes que l'employeur doit suspendre le versement du salaire pendant un atrrĂȘt pour accident du travail contrairement Ă ce qui est prĂ©vu Ă l'art. 30 de la Convention collective nationale des gardiens, concierges et employĂ©s d'immeubles... Demander le remboursement d'une partie des indemnitĂ©s journaliĂšres de la SĂ©curitĂ© Sociale me paraĂźt ĂȘtre un enregistrement sans cause pour l'employeur et va Ă l'encontre de toutes les rĂšgles lorsque dans certains cas elles sont plus Ă©leves que la rĂ©munĂ©ration mensuelle... __________________________Cordialement. Les experts-comptables et les rĂ©dacteurs du Lamy doivent ĂȘtre des ignorants pour considĂ©rer eux aussi que que le salaire en nature correspond Ă un avantge en nature comme ce dossier et bien d'autres... Vous, vous ne vous ĂȘtes pas encore aperçue qu'un loyer on le paie alors qu'un avantage ou un salaire en nature on le perçoit... Il me semble que d'entrĂ©e j'ai soulignĂ© en citant l'ArrĂȘt de la cour de Casastion que c'est en absence de clause au contrat de travail ou de disposition Ă la Convention Collective applicable qu'il n'y a rien Ă rembourser et m^me si vous avez une dĂ©ficience de comprĂ©hension, je ne vais pas le rĂ©pĂ©ter Ă chaque message... Vous alez mĂȘme jusqu'Ă faire diversion en estimant que les avantages en nature sont sous-Ă©valuĂ©s et Ă trouver aberrant les indemnisations prĂ©vues par la SĂ©curitĂ© Sociale et les Conventions Collectives, ce qui dĂ©montre si on en avait besoin votre mauvaise foi... Je ne vais pas discuter avec vous sur la Jurisprudence qui prĂ©voit que si les indemnitĂ©s journaliĂšres sont plus Ă©levĂ©es que le salaire habituel, elles doivent ĂȘtre reversĂ©es au salariĂ© si l'employeur bĂ©nĂ©ficie d'une subrogation ou conservĂ©es par le salariĂ© s'il les perçoit directement car ce serait vous instruire et je suis lĂ avant tout pour informer l'intĂ©ressĂ© par des Jurisprudences et dossiers contrairement Ă vous... Heureusement que pour vous la discussion est terminĂ©e cela vous Ă©vitera d'amplifier le ton polĂ©mique auquel j'ai Ă©tĂ© obligĂ© de rĂ©pondre et surtout de continuer Ă raconter des bĂ©tises car ce que vous trouvez normal est avant tout des hĂ©rĂ©sies dues Ă votre ignorance que vous consentez Ă reconnaĂźtre Ă demi-mots... Je reste bien sĂ»r Ă la disposition de l'auteur du sujet pour parler sĂ©rieusement de Droit du Travail... __________________________Cordialement. Avez-vous dĂ©jĂ un compte sur le site ? 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Cass. La rĂ©union de tous les lots entre les mains dâun mĂȘme propriĂ©taire entraĂźne de plein droit la disparition de la copropriĂ©tĂ© et la dissolution du syndicat qui ne survit que pour les besoins de sa liquidation ; les problĂšmes pratiques liĂ©s Ă
La colĂšre des gardiens dâimmeubleNathalie Perrier 07h00 ILS NâEN PEUVENT plus et le disent. Aujourdâhui, Ă 11 heures, les gardiens dâimmeuble de Plaine Commune Habitat qui en emploie 200 , lâoffice HLM de Plaine Commune * , manifesteront avec leur direction devant la prĂ©fecture de Bobigny pour protester contre les violences dont ils sont victimes. Le mois dernier, en dix jours, trois employĂ©s ont Ă©tĂ© agressĂ©s par des locataires. En savoir plus Il vaut mieux fermer les yeux sur les trafics » Le 14 septembre, un des gardiens de la citĂ© Fabien de Saint-Denis a Ă©tĂ© frappĂ© Ă coups de poing au visage par un rĂ©sidant dont les enfants Ă©taient coincĂ©s dans lâascenseur. Il a eu les dents cassĂ©es et trois jours dâarrĂȘt de travail. Le 17 septembre, un de ses collĂšgues de la rĂ©sidence Basilique, toujours Ă Saint-Denis, a Ă©tĂ© menacĂ© avec un couteau par un locataire, qui ne supportait pas sa remarque. Le 24 septembre, un gardien, encore citĂ© Fabien, a Ă©tĂ© rouĂ© de coups par des jeunes qui se promenaient avec une barre de fer prĂšs des locaux techniques. Il souffre de nombreuses fractures faciales et a dĂ» ĂȘtre opĂ©rĂ© Ă deux reprises. Fin juillet, un autre gardien avait eu lâĂ©paule cassĂ©e pour avoir fait trop de bruit en arrosant les plantes. Les conditions de travail se dĂ©gradent, constate Michel Digeon, de la CGT. Il y a des quartiers oĂč il devient difficile de faire son mĂ©tier, oĂč le seul fait de porter lâuniforme de gardien prĂ©sente un danger. » Trois agressions en dix jours La situation a empirĂ© en 2002 avec la disparition de la police de proximitĂ©. LâarrivĂ©e des Uteq NDLR unitĂ©s territoriales de quartier au Franc-Moisin est une bonne chose. Mais nos moyens restent limitĂ©s et, en cas dâincident, les gardiens se trouvent trĂšs isolĂ©s », commente StĂ©phane Peu, le prĂ©sident de lâoffice HLM. La semaine derniĂšre, Plaine Commune Habitat a engagĂ© des procĂ©dures dâexpulsion Ă lâencontre des trois familles concernĂ©es. Ce sera dorĂ©navant systĂ©matiquement le cas », prĂ©vient StĂ©phane Peu, qui invite tous les bailleurs dĂ©partementaux Ă se rĂ©unir le 25 octobre. Lâoffice HLM consacre chaque annĂ©e 900 000 ⏠pour la sĂ©curisation de ses 16 000 logements. Nous faisons notamment appel, dans certains quartiers, Ă des sociĂ©tĂ©s de sĂ©curitĂ©. Il nous faudrait une aide de lâEtat pour dĂ©velopper ce dispositif », indique StĂ©phane Peu. Et en mars, Ă la suite de plusieurs agressions, le bailleur 3 F a dĂ©cidĂ© de retirer ses gardiens des Beaudottes, Ă Sevran. * Huit communes composent Plaine Commune Aubervilliers, Epinay, La Courneuve, LâĂźle-Saint-Denis, Pierrefitte ,Saint-Denis, Stains, Villetaneuse. Le Parisien
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