LindemnitĂ© de dĂ©part en retraite, pour le salariĂ© de catĂ©gorie A ou B, est Ă©tablie de la maniĂšre suivante : ― de 1 an Ă  7 ans d'anciennetĂ©, 1/5 de mois par annĂ©e de service ; ― Ă  partir de 8 annĂ©es d'anciennetĂ©, majoration de 2/15 de mois par annĂ©e de service ; ― Ă  partir de 20 ans d'anciennetĂ©, majoration supplĂ©mentaire de 1/10 de mois par annĂ©e de service.
Un jeune du Val-d’Argent s’en est pris Ă  deux agents de l’office HLM de sa citĂ© qui refusaient de lui ouvrir un local oĂč Ă©taient entreposĂ©s des objets volĂ©s. Sa famille s’expose Ă  une possible exclusion. MAÏRAM GUISSÉ PubliĂ© le 07h00 Argenteuil, hier. L’un des employĂ©s de l’office HLM AB-Habitat a Ă©tĂ© gazĂ© sur son lieu de travail, dans cet immeuble de l’allĂ©e Paul-Eluard. LP/M. G. Ce n’est pas une mais deux agressions de trop pour le personnel d’AB-Habitat AB-H. Deux gardiens d’immeubles du quartier du Val-Nord, Ă  Argenteuil, ont Ă©tĂ© violemment pris Ă  parti mercredi. Connu des services de police, l’agresseur souhaitait rĂ©cupĂ©rer les clĂ©s d’un local technique oĂč des objets volĂ©s avaient Ă©tĂ© trouvĂ©s. Mais l’agent de l’allĂ©e Paul-Eluard qu’il a interpellĂ© Ă  ce sujet refuse d’accĂ©der Ă  sa demande, le jeune homme, fils d’une famille de locataires de cette mĂȘme citĂ©, commence par le menacer, le 17 dĂ©cembre. Sa manƓuvre d’intimidation reste vaine. Alors mercredi, en fin d’aprĂšs-midi, il revient Ă  la charge et gaze l’agent d’AB-H. ConsĂ©quence la victime s’est vu prescrire un arrĂȘt de travail de cinq jours. Ce mĂȘme jour, le jeune homme se rend au domicile d’un deuxiĂšme gardien, en congĂ©, vivant dans la rue Renoir, Ă  quelques mĂštres de lĂ . Sous les yeux de sa famille, le gardien est menacĂ© avec un couteau
 Son grand gabarit lui permet de faire face et de mettre en fuite le jeune homme, qui malgrĂ© cela, revient une heure plus tard. Les deux gardiens d’immeubles ont dĂ©posĂ© plainte. Une enquĂȘte est en cours au commissariat d’Argenteuil pour tenter de retrouver leur agresseur, qui n’est pas rĂ©apparu depuis Ă  son domicile. Un risque de rĂ©cidive Il est urgent que la police interpelle ce dangereux individu et le mette hors d’état de nuire, indiquent les reprĂ©sentants CGT du personnel d’AB-H. De son cĂŽtĂ©, la justice doit Ă©galement agir avec cĂ©lĂ©ritĂ©. » Le mĂ©tier de gardien d’immeuble est dĂ©jĂ  difficile Ă  exercer, alors il ne faut rien laisser passer, appuie Daniel Blanc, dĂ©lĂ©guĂ© du syndicat. Chaque fois qu’un agent du service public subit une agression, c’est la mission de service public qui est remise en cause. » Outre la plainte au pĂ©nal, une autre a Ă©galement Ă©tĂ© dĂ©posĂ©e au civil. Une procĂ©dure pour exclure la famille de l’agresseur a en effet Ă©tĂ© lancĂ©e par le bailleur qui gĂšre 11000 logements sur Argenteuil, Bezons et Montigny-lĂšs-Cormeilles. Si cette dĂ©marche n’est pas frĂ©quente, elle est systĂ©matiquement utilisĂ©e lorsque des locataires ou leurs enfants sont Ă  l’origine d’actes de violence grave s ». Les 105 gardiens de l’office Ă©tant logĂ©s sur leur lieu de travail, le bailleur ne souhaite prendre aucun risque. Nous soutenons parfaitement cette mesure, le jeune homme peut revenir et menacer Ă  nouveau les gardiens, insiste Daniel Blanc. Les personnels de proximitĂ© mĂ©ritent davantage de considĂ©ration et de reconnaissance, pas seulement en parole mais aussi par des actes concrets. » Une dizaine de faits depuis dĂ©but 2012 M. G. PubliĂ© le 07h00 Pour lutter au mieux contre les actes de violence, l’office HLM AB-Habitat AB-H a mis en place un observatoire des faits d’insĂ©curitĂ© en 2003. Un outil qui permet d’analyser des donnĂ©es sur le nombre d’agressions et de trouver des solutions », expliquait Brahim Terki, directeur dĂ©lĂ©guĂ© aux affaires juridiques et Ă  la tranquillitĂ© publique Ă  AB-H, Ă  la suite de l’agression d’un gardien d’immeuble Ă  Bezons, en 2010. Ce dispositif est Ă©galement un moyen de relever les zones oĂč les problĂšmes sont rĂ©currents sur le patrimoine de cet office HLM. En gĂ©nĂ©ral, il s’agit des quartiers oĂč il y a du trafic de drogue, comme au Colombier, Ă  Bezons. Des stages pour apprendre Ă  gĂ©rer les conflits Cette annĂ©e, l’office HLM a relevĂ© une petite dizaine d’agressions verbales et physiques considĂ©rĂ©es comme graves. Pour faire face Ă  ce genre de situation, les gardiens d’immeubles suivent une fois par an un stage de gestion de conflits ». Ils y apprennent les comportements Ă  adopter pour dĂ©samorcer une situation de crise, comme prendre du recul, calmer le jeu quand les esprits s’échauffent
 Mais ces exercices de mise en situation ne permettent pas de rĂ©pondre Ă  tous les cas de figure. Preuve en est avec les derniers Ă©vĂ©nements survenus Ă  Argenteuil. Ultime recours contre la violence pour AB-Habitat la possibilitĂ©, en cas de faits graves commis par un locataire ou l’un de ses proches vivant avec lui, de demander leur expulsion du logement. Une procĂ©dure lancĂ©e dans le cas d’Argenteuil. Le Parisien
Depuisle 1er janvier 2018, 100 agents, gardiens d’immeuble ou volontaires, ont Ă©tĂ© assermentĂ©s, par la Ville de Paris, en vue de leur permettre de sanctionner toute incivilitĂ© constatĂ©e sur les
Oui mais pourquoi ? VoilĂ  une bonne question Les gardiens d'immeuble L'histoire fait que les gardiens, concierges et employĂ©s d'immeuble ne sont pas inclus dans la loi 83-629. Notamment grace Ă  la "circulaire Pandraud" en page 7 CLIQUEZ ICI pour la tĂ©lĂ©charger, mais certains diront qu'une circulaire n'a aucune valeur, d'autant que celle-ci n'a jamais Ă©tĂ© "publiĂ©e". Oui mais voilĂ , c'est la seule rĂ©fĂ©rence sĂ©rieuse pour l'interprĂ©tation de nombreux articles "tendancieux", notamment celui du champ d'application de la loi 83-629. Et cette circulaire Pandraud dit que les concierges d'immeubles ne sont pas soumis Ă  la loi 83-629 car ils ont d'autres activitĂ©s que celle de la surveillance "proprement dite" comme par exemple la distribution du courrier, le mĂ©nage, etc.... Mais la sĂ©curitĂ© incendie est une activitĂ© "exclue", donc comme pour les tĂąches de notre gardien d'immeuble avec sa "distribution de courrier" ... d'oĂč l'incomprĂ©hension d'une position manquant de fermetĂ© du ministĂšre de l'intĂ©rieur avec la circulaire autorisant la sĂ©curitĂ© incendie dans les entreprises de sĂ©curitĂ© privĂ©e, avec un slalom juridque critiquable et trop nuancĂ©. Oublions cette circulaire Pandraud Mais alors oĂč est indiquĂ©e l'exclusion des gardiens d'immeuble de la loi 83-629 ? nulle part ... C'est bien lĂ  le problĂšme, cette exclusion est une "interprĂ©tation". Une jurisprudence Cour de Cassation,Chambre sociale , du 16 janvier 2001 indique les salariĂ©s employĂ©s en qualitĂ© de surveillant par un syndicat de copropriĂ©taires sont exclus du champ d'application de la loi n° 83-629 du 12 juillet 1983 et du dĂ©cret n° 86-1099 du 10 octobre 1986 ; Mais l'histoire ne dit pas pourquoi les juges ont "dĂ©cidĂ©" d'exclure ce type de salariĂ©s. Sur quoi se sont-ils basĂ©s ? Pour anecdote, cette cour de cassation exclut en 2001 les agents de surveillance employĂ©s par un syndicat de copropriĂ©taires le syndicat des copropriĂ©taires possĂšde une personnalitĂ© morale... Puis en 2010, la modification de la loi 83-629 indique en son article 11-5 Les propriĂ©taires, exploitants ou affectataires d'immeubles ou groupes d'immeubles collectifs Ă  usage d'habitation peuvent constituer une personne morale dont l'objet est l'exercice, pour le compte de ses membres, de l'activitĂ© mentionnĂ©e au 1° de l'article 1er, dans les conditions prĂ©vues par l'article L. 127-1 du code de la construction et de l'habitation. Donc un syndicat de copropriĂ©taires peut crĂ©er une "sĂ©curitĂ© interne" surveillant , non soumis Ă  la loi 83-629 cf jurisprudence ... mais s'ils veulent crĂ©er une "personne morale" dĂ©diĂ© Ă  ce type de prestations, ils seront soumis Ă  la loi 83-629 cf article 11-5.... Bizarre non ?! incohĂ©rent, ça c'est sĂ»r ! BILAN On exclut les gardiens d'immeubles par "interprĂ©tation", car on considĂšre qu'ils ont d'autres activitĂ©s que la "surveillance" proprement dite. Une jurisprudence confirme en 2001 cette exclusion mais ne dit pas pourquoi ni comment, et permet aux syndicats de copropriĂ©taires d'embaucher des agents de sĂ©curitĂ© non soumis Ă  la loi 83-629 ... MalgrĂ© cette position "quasi tranchĂ©e" mais pas officiellement, Ă  part cette jurisprudence, qu'en est-il de la sĂ©curitĂ© incendie ? La sĂ©curitĂ© incendie ... exclue Ă  moitiĂ© ? On exclut totalement les activitĂ©s de sĂ©curitĂ© incendie de la loi 83-629 cf position du ministĂšre de l'intĂ©rieur depuis mars 2009 avec la carte pro, puis avec les questions-rĂ©ponses de dĂ©putĂ©s,.... Puis on dit la derniĂšre circulaire que cela est une activitĂ© "connexe" avec une activitĂ© de sĂ©curitĂ© privĂ©e, tout en affirmant qu'une activitĂ© de sĂ©curitĂ© incendie est hors du champ d'application de la loi 83-629. Mais une activitĂ© "connexe" reste une activitĂ© "parallĂšle" , un complĂ©ment Ă  la fonction d'agent de sĂ©curitĂ© privĂ©e. Si cette connexitĂ© ne pose pas de problĂšme si le site/batiment n'impose pas une EXCLUSIVITE de mission de sĂ©curitĂ© incendie agent de sĂ»retĂ© ayant aussi des fonctions gĂ©rant la sĂ©curitĂ© incendie d'un site, ou un agent de sĂ©curitĂ© incendie ayant aussi des fonctions de sĂ»retĂ©, elle va en poser un pour d'autres cas ... Dans certains ERP-IGH, un service de sĂ©curitĂ© incendie "dĂ©diĂ©" est imposĂ© respect de l'article MS 46 ... donc cela ne serait plus une activitĂ© "connexe", mais une activitĂ© Ă  part entiĂšre, en dehors du champ d'application de la loi 83-629. Bref, "On dit" que les gardiens d'immeuble sont exclus de la loi 83-629, car ils ont des fonctions qui n'entrent pas dans le cadre de la loi 83-629. "On dit" qu'une activitĂ© de sĂ©curitĂ© incendie est exclue de la loi 83-629, car celle-ci n'entre pas dans le champ d'application de la loi 83-629. "On dit qu'une activitĂ© de sĂ©curitĂ© est connexe Ă  des activitĂ©s de sĂ©curitĂ© privĂ©e, et que le cumul des deux activitĂ©s n'est pas "incompatible" hors imposition de l'article MS 46" -> ce qui du point de vue de la loi 83-629, est totalement lĂ©gal. " On dit qu'un service de sĂ©curitĂ© incendie "dĂ©diĂ©" peut etre assurĂ© par les entreprises de sĂ©curitĂ© privĂ©e" -> Bien que cette activitĂ© soit exclue de la loi 83-629 ... On se marche sur la tĂȘte, et le ministĂšre de l'intĂ©rieur avec cette circulaire n'a rien arrangĂ©. Il a juste "Ă©tabli" ce qui se passe actuellement, dans un brouillard juridique intense ... A quand une vĂ©ritable position du ministĂšre de l'intĂ©rieur ? Une refonte de la loi 83-629 ?
Re Abus de pouvoir du conseil syndical. Article 4 : Les parties communes sont l'objet d'une propriété indivise entre l'ensemble des copropriétaires ou certains d'entre eux seulement ; leur administration et leur jouissance sont organisées conformément aux dispositions de la présente loi. Article 6 : Les parties communes et les droits qui Bonjour, BX le 29/12/2010 Propriétaire dans une copropriété, nous employons depuis le 9 /09/2010 pour une période' de 5 mois un homme comme gardien d' immeuble en CDD. Pour des raisons techniques nous devons prolonger son CDD de 5 mois. 1° la période de 5 mois en CDD est elle légale 2° pouvons nous prolonger cette période de 5 mois , dans le cas positif qu'elle est la durée maximum. 3° la convention collective des gardiens d' immeuble N°3144 article 11 ne précise pas de dérogation. J' aimerais savoir avec précision votre avis sincÚres salutations Bonjour, Il faudrait savoir pour quel motif, vous employez ce gardien d'immeuble en CDD... __________________________Cordialement. BX le 30/1/2010. Réponse au message 436 de tedforum du 29/12/2010 18h43. Bonjour, le motif est le suivant ,le 30 /03/2010 le gardien en poste a pris sa retraite. Lors de l' assemblée générale des copropriétaires du mois de juin 2010,il a été demandé par un vote le remplacement de cet employé. Le syndic gérant s'est mis à la rechrche de cette personne depuis le 9 /09/2010 un homme a eté embauché en CDD pour une durée de 5 mois jusqu' au 8/02/2011. Cette personne donnant entiere satisfaction il a été voté en assemblée generale un accord pour l' embauché en CDI,mais un probléme intervient le gardien doit etre logé suivantla convention collective N° 3144 des gardiens d' immeuble cette loge n'etant pas en état des travaux de refection doivent etre excutés. Par la loi aprés un vote les travaux ne peuvent commençer que 2 mois aprés , et les travaux vont durer envion 4 mois. Cest pour cette raison que nous voulions prolonger son CDD de 5 nois. L'article 11 de la N° 3144 ne fourni aucune précision. Vos connaissances pourront surement nous indiquer le suivi excat de ce dossier 1° sommes nous dans la légalité avec le 1° CDD 2°Qu'elle est la durée maximum d' un CDD 3° vtre avis pour denouer ce dossier SincÚres salutatios Bonjour, Je crois vous avoir déjà répondu dans ce sujet Un CDD n'est pas fait pour se substituer à une période d'essai et comme l'emploi fait partie de l'activité normale, vous devriez embaucher directement le salarié en CDI sans période d'essai puisque le premier CDD l'a dépassé dans sa durée, quitte à prévoir des modalité particuliÚres le temps que la loge soit en travaux... __________________________Cordialement. bonjour la gardienne d'immeuble prend sa retraite,mais demande à faire un cdd pour une durée de 18 mois quel doit etre son nouveau contrat salaire congé et indemnité de depart merci de repondre
Ily a 10 ans, un gardien d'immeuble assassinait une jeune fille de 24 ans. Dans la nuit du 13 au 14 septembre 2005, Jean-Luc Cayez s'introduit, cagoulé et muni d'un fusil à
Time 7 mn 22 / [1/1] Parmi les crimes les plus graves qui existent, l’abus de pouvoir est un des plus terribles. Pourquoi l’abus de pouvoir ? Tout simplement parce que chaque homme de pouvoir exerce du pouvoir sur des personnes. Suivant le nombre de personnes qu’un homme de pouvoir gouverne, il peut augmenter la gravitĂ© de son crime. Par exemple actuellement le Pentagone et l’OTAN font du mal Ă  toute la population mondiale par leur abus de pouvoir. Comment exactement pratiquent-ils l’abus de pouvoir ? En abandonnant de plus en plus leur mission de dĂ©fense et en la tournant de leur propre chef en un pacte d’attaque. Les mĂ©dias de masse poursuivent cet abus de pouvoir parce que, au lieu de dĂ©noncer en public les violations hautement criminelles, ils les cachent, les justifient, les glorifient et rendent ainsi des peuples entiers consentants Ă  la guerre. La justice de son cĂŽtĂ© conforte cet abus de pouvoir par son silence passif, c’est-Ă -dire par son refus de faire son travail. L’abus de pouvoir est Ă©galement le dĂ©lit le plus grave d’un point de vue Ă©thique et moral. Tout abus de pouvoir ressemble Ă  un kidnapping, oĂč des victimes impuissantes et sans protection sont systĂ©matiquement abusĂ©es, torturĂ©es, tuĂ©es et abandonnĂ©es. Mais la forme la plus rĂ©pandue de l’abus de pouvoir ne se produit pas de maniĂšre si grossiĂšre et manifeste. Il passe plutĂŽt par le chemin du mensonge ciblĂ©, des prĂ©textes hypocrites et de la duperie sournoise. C’est comparable Ă  une association caritative qui collecterait continuellement des dons pour les plus pauvres, mais qui les transmettrait en cachette Ă  des associations terroristes dangereuses. La racine originale et la motivation de tous les abus de pouvoir se trouvent dans la cupiditĂ© et la soif de pouvoir. Malheureusement, ce que personne ne veut reconnaĂźtre vraiment, c’est la rĂ©alitĂ© amĂšre et Ă©vidente Ă  prĂ©sent les abus de pouvoir sont devenus lĂ©gion et ils sont littĂ©ralement omniprĂ©sents. Mais les peuples ressemblent Ă  des petits enfants qui ne veulent ni entendre ni croire ni mĂȘme accepter d’envisager que leurs parents commettent les crimes les plus graves. Pourtant il est temps de se rĂ©veiller, de devenir adulte et de dĂ©velopper une nouvelle sensibilitĂ© pour les abus de pouvoir. L’abus de pouvoir implique naturellement que les personnes puissantes n’entreprennent rien contre, car beaucoup d’entre elles y sont mĂȘlĂ©es. Mais si maintenant les derniĂšres personnes sincĂšres parmi les hommes de pouvoir ne destituent pas, en association avec le peuple, tous les hommes coupables d’abus de pouvoir, il en sera bientĂŽt terminĂ© de la libertĂ© promise avec la musique, le pain et les jeux. Il faut qu’on reconnaisse qu’un trĂšs grand nombre de ces mĂ©tastases cancĂ©reuses de l’abus de pouvoir se sont installĂ©es partout dans notre vie qu’on le reconnaisse au fait que le profit matĂ©riel des individus triomphe sur le bien-ĂȘtre et l’intĂ©rĂȘt de la collectivitĂ© dans presque toutes les sphĂšres de la vie. Presque tout est dirigĂ© par le profit. Presque toute la mĂ©decine et toute la science servent en premier lieu Ă  augmenter le profit et pas vraiment Ă  la santĂ©. Sous couvert de recherche, de protection de l’environnement et du climat etc. d’un cĂŽtĂ© on encaisse continuellement des sommes qui se comptent en billions, tandis que de l’autre cĂŽtĂ© on Ă©touffe de maniĂšre ciblĂ©e des nombreux acquis des technologies les plus Ă©cologiques. A l’échelle mondiale l’organisme humain souffre des taxes coercitives contre-productives, Ă  commencer par des redevances radiotĂ©lĂ©vision obligatoires et des assurances obligatoires devenant toujours plus chĂšres. De la mĂȘme maniĂšre que l’assurance immobiliĂšre obligatoire abuse de son pouvoir face aux propriĂ©taires d’immeubles, cela se produit maintenant dans presque tous les autres secteurs d’assurance D’un cĂŽtĂ© en augmentant les primes d’assurance de maniĂšre de plus en plus insupportable et de l’autre cĂŽtĂ© en intĂ©grant en douce de plus en plus de conditions de vente en petits caractĂšres dans les textes des contrats. Ces conditions de vente obligent les assurĂ©s Ă  toujours plus de mesures supplĂ©mentaires coĂ»teuses Ă  leurs propres frais. Et mĂȘme s’il ne s’agit que d’une certaine sorte de manique » convenue dans la clause
 Si, par ignorance ou par contrainte financiĂšre, une personne forcĂ©e Ă  s’assurer oublie une de ces clauses de sĂ©curitĂ© » qui s’ajoutent tout le temps, les assurances refusent tout paiement en cas de sinistre. A travers toujours plus d’impĂŽts, d’impĂŽts supplĂ©mentaires et de taxes supplĂ©mentaires, l’Etat abuse de son pouvoir partout oĂč il le peut. AprĂšs que le contribuable a payĂ© toutes les routes, tous les parkings et les infrastructures publiques Ă  ses propres frais, il est de plus en plus souvent forcĂ© chaque fois qu’il sort de sa maison Ă  payer des taxes supplĂ©mentaires sous forme de frais de stationnement, de pĂ©age d’autoroute, de taxes Ă©cologiques etc. Bien qu’il soit largement connu depuis longtemps, l’abus de pouvoir de l’industrie pharmaceutique et de la vaccination domine les soins de santĂ© alternatifs incomparablement moins chers. Bien qu’elle soit meurtriĂšre, l’exposition forcĂ©e aux ondes est elle aussi poursuivie sans scrupules. C’est ici qu’on voit l’abus de pouvoir des gĂ©ants de la tĂ©lĂ©phonie mobile qui sacrifient la santĂ© de peuples entiers pour profiter personnellement du maximum de bĂ©nĂ©fices. Et cela bien qu’ils le sachent pertinemment, comme nous l’avons prouvĂ© de maniĂšre concluante avec nos nombreuses Ă©missions et brochures. Mais le renforcement des antennes-relais continue sans ĂȘtre freinĂ© et les dangers pour la santĂ© gĂ©nĂ©rĂ©s par les technologies de transmission sans fil comme par exemple la Wifi ou le tĂ©lĂ©phone sans fil sont passĂ©s sous silence de façon irresponsable – c’est un abus de pouvoir. Les dĂ©veloppeurs milliardaires de la technologie RFID abusent eux aussi de leur pouvoir en voulant obliger tous les humains Ă  se faire implanter cette technologie de surveillance sous la peau
 Et tout cela Ă  l’encontre des avertissements trĂšs sĂ©vĂšres donnĂ©s dans des prophĂ©ties vieilles de 2 000 ans qui dĂ©crivaient trĂšs exactement cette technologie RFID et l’ont strictement interdite. Encore une fois tout cela n’est que la petite partie visible d’un iceberg dont la partie cachĂ©e est indescriptiblement plus Ă©norme. Les abus apparaissent aussi dans le domaine des privatisations croissantes, mais aussi en ce qui concerne toute l’immigration de masse, le trafic de femmes et d’enfants, la lĂ©galisation des drogues, l’idĂ©ologie du genre, l’éducation sexuelle prĂ©coce, la protection de l’environnement, la dĂ©mocratisation » forcĂ©e – des abus de pouvoir se cachent derriĂšre l’interdiction de l’argent liquide qui va venir, les technologies de surveillance, les systĂšmes de libre-Ă©change etc., etc. ! Que cela puisse malgrĂ© tout provoquer cet appel, ce qu’aucune parole humaine ne pourrait plus dĂ©crire, mĂȘme dans les grandes lignes. HumanitĂ© honnĂȘte, rĂ©veille-toi de ton sommeil profond et hypnotique, reconnais l’abus de pouvoir des exploiteurs des peuples qui est en cours. LĂšve-toi et unis-toi contre lui ! Source VidĂ©o [1] Abus de pouvoir des exploiteurs des peuples – Mr Aphadolie / YouTube Photo Pour illustration Ilest possible de prĂ©voir dans le contrat de travail que le lieu oĂč les tĂąches seront effectuĂ©es pourra ĂȘtre modifiĂ©. Cette clause de " mobilitĂ© " signifie que le salariĂ© renonce, par Le logement de fonction est un accessoire au contrat de travail. Il est attribuĂ© au salariĂ© en raison de ses fonctions par l’employeur, notamment pour faciliter les conditions de travail ainsi que les dĂ©placements professionnels. Parfois mĂȘme, la mise Ă  disposition de ce logement est un avantage pour attirer des talents, ces derniers faisant l’économie d’une recherche de logement et d’un loyer. Toutefois, se pose la question du sort du logement de fonction en cas de rupture du contrat de travail. Le salariĂ© est-il autant protĂ©gĂ© qu’un locataire classique ou bien doit-il plier bagage sans dĂ©lai ? Dans l’hypothĂšse de la mise Ă  disposition d’un logement de fonction, c’est l’employeur qui est propriĂ©taire ou locataire du logement mis Ă  la disposition du salariĂ©. Lors de la rupture du contrat, de nombreuses questions peuvent se poser sur les droits et obligations de chacun car le sort du logement de fonction n’est pas encadrĂ© par la Loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 sur les baux d’habitation. En effet, la majeure partie de cette loi n’est pas applicable aux logements attribuĂ©s ou louĂ©s en raison de l’exercice d’une fonction ou de l’occupation d’un emploi article 2, 3° de la Loi n° 89-462 du 6 juillet 1989. Dans certaines professions, par exemple celle des concierges, le sort du logement de fonction en cas de licenciement fait l’objet d’un encadrement lĂ©gal et conventionnel. En dehors de quelques professions spĂ©cifiques, c’est la jurisprudence qui est venue prĂ©ciser le minimum de rĂšgles applicables concernant le logement de fonction. La Cour de cassation estime que Le bĂ©nĂ©fice d’un logement de fonction est un avantage en nature accessoire au contrat de travail et prend fin en mĂȘme temps que lui ». [1] Ainsi, Ă  la cessation du contrat de travail, le salariĂ© ne dispose d’aucun droit au maintien dans son logement. Le salariĂ© est donc tenu de le libĂ©rer Ă  l’expiration de son prĂ©avis. En l’absence de prĂ©avis, le logement de fonction doit ĂȘtre libĂ©rĂ© dĂšs la cessation du contrat de travail sauf lorsque l’employeur a fixĂ© un dĂ©lai pour quitter les lieux. [2] La jurisprudence admet de maniĂšre constante que le salariĂ© qui se maintient dans son logement de fonction au-delĂ  du dĂ©lai imparti pour le libĂ©rer peut ĂȘtre condamnĂ© Ă  payer Ă  son ex-employeur une indemnitĂ© d’occupation [3]. L’indemnitĂ© d’occupation est donc due Ă  partir du moment oĂč le salariĂ© bascule dans une situation d’occupant sans droit ni titre. L’indemnitĂ© d’occupation a une nature indemnitaire. [4] La fonction rĂ©paratrice de cette indemnitĂ© peut donc causer des difficultĂ©s quant Ă  son Ă©valuation car un prĂ©judice est toujours dĂ©licat Ă  dĂ©terminer. La Cour d’appel de Dijon a estimĂ© que l’indemnitĂ© d’occupation devait ĂȘtre fixĂ©e Ă  hauteur de l’avantage en nature dont le salariĂ© bĂ©nĂ©ficiait avant la rupture du contrat de travail. [5] Un arrĂȘt de Cour d’appel a quant Ă  lui estimĂ© que l’indemnitĂ© d’éviction devait ĂȘtre fixĂ©e par comparaison au montant des loyers et charges stipulĂ©s, pour un logement similaire ». [6] Dans d’autres arrĂȘts, le calcul retenu par l’employeur, se fondant sur la valeur locative, a Ă©tĂ© validĂ© par la Cour d’appel. [7]. Dans tous les cas, mĂȘme si la mĂ©thode d’évaluation reste incertaine, il paraĂźt impĂ©ratif de justifier le calcul de l’indemnitĂ© d’occupation par des Ă©lĂ©ments objectifs. Étant donnĂ© que la loi du 6 juillet 1989 n’est pas applicable, aucune forme particuliĂšre n’est requise pour demander au salariĂ© de libĂ©rer le logement de fonction. En revanche, au regard de l’importance du logement concernant la vie privĂ©e et personnelle du salariĂ©, il n’est pas raisonnable d’exiger de lui une libĂ©ration des lieux immĂ©diatement aprĂšs la notification de la lettre du licenciement. MĂȘme si l’employeur a le droit d’exiger une libĂ©ration du logement dĂšs la rupture du contrat en l’absence de prĂ©avis, ne pas laisser au salariĂ© suffisamment de temps pour prendre ses dispositions pourrait ĂȘtre analysĂ© comme Ă©tant un abus de droit. Il pourrait ĂȘtre reprochĂ© Ă  l’employeur d’avoir fait preuve d’une lĂ©gĂšretĂ© blĂąmable en voulant expulser le salariĂ© avec prĂ©cipitation, ce qui peut potentiellement causer un prĂ©judice rĂ©parable. Personne ne peut dĂ©mĂ©nager du jour au lendemain sans dommage. Par prudence, il convient donc de laisser un salariĂ© un dĂ©lai raisonnable pour lui permettre de libĂ©rer le logement. Arthur TOURTET Avocat au Barreau des PyrĂ©nĂ©es-Orientales Recommandez-vous cet article ? Donnez une note de 1 Ă  5 Ă  cet article L’avez-vous apprĂ©ciĂ© ? Notes de l'article [1] Cour de cassation, chambre sociale, 14 juin 1972, PubliĂ© au bulletin. [2] Cour d’appel de Bastia 24 juillet 2013, n°12/00667 [3] Cour de cassation, chambre sociale, 24 mars 1965 n° publiĂ© au bulletin [4] Cour de cassation, chambre commerciale, 26 mai 1961 Bull. civ. IV, n° 233 et Cour de cassation, chambre sociale, 17 juillet 1997, PubliĂ© au bulletin. [5] Cour d’appel de Dijon. 19 sept. 2013. n° 12/01196 [6] Cour d’appel de Montpellier. 28 mai 2014. N° 13/06915 [7] Cour d’appel d’Aix-en-Provence. 30 mai 2013. n° 12/17685 et Cour d’appel de Reims. 27 juin 2012. n° 10/02323
Vouspourriez aussi faire part de ces dĂ©sagrĂ©ments Ă  votre Syndic. Si l’immeuble est en copropriĂ©tĂ©, le syndic se chargera de prĂ©venir le propriĂ©taire. N’y a-t-il pas un gardien d'immeuble pour surveiller le hall ? Toutefois, l’idĂ©e que Domilegrand a proposĂ© pourrait ĂȘtre plus efficace et plus rapide : se mettre d’accord avec tous les voisins et se liguer contre
Bonjour, Je suis gardien d'immeuble d'une copropriĂ©tĂ© de 179 logements et je suis actuelement en accident du travail depuis le 24 septembre 2020. Un membre du conseil syndical demande le rembourrsement de l'avantage en nature que je perçois soit 192 € par mois, d'accident de travail, pour l'appartement de fonction que j'occupe. Je precise que ce logement sert aussi de loge pour la reception des colis et l'accueil des rĂ©sidents. Suis-je obligĂ© de rembourser ? et puis-je prĂ©tĂ©nde aux remboursements des 55 KW d'electricitĂ© puisque je n'ai pas de loge ? Merci et cordialement. DerniĂšre modification 12/04/2021 - par Tisuisse Superviseur Bonjour, Vous n'avez rien Ă  rembourser et vous pourriez vous rĂ©fĂ©rer Ă  l'ArrĂȘt de la Cour de cassation, civile, Chambre sociale, 26 janvier 2011, PubliĂ© au bulletin la non-exĂ©cution par le salariĂ© des permanences et des astreintes n'autorisait pas l'employeur Ă  rĂ©clamer pour l'occupation, Ă  titre personnel et professionnel, du logement de fonction, le paiement d'un loyer et de charges locatives, non prĂ©vu par les dispositions contractuelles et conventionnelles __________________________Cordialement. L'ArrĂȘt prĂ©citĂ© est Ă  rapprocher sur le principe de l'avantage en nature, mĂȘme s'il s'agit d'un vĂ©hicule de fonction, de l'ArrĂȘt de la Cour de cassation, civile, Chambre sociale, 24 mars 2010, PubliĂ© au bulletin Attendu, d'autre part, qu'un vĂ©hicule de fonction, dont le salariĂ© conserve l'usage dans sa vie personnelle, ne peut, sauf stipulation contraire, ĂȘtre retirĂ© Ă  l'intĂ©ressĂ© pendant une pĂ©riode de suspension du contrat de travail ; Et attendu qu'ayant constatĂ© que l'employeur avait repris, lors de l'arrĂȘt de travail de Mme X..., le vĂ©hicule de fonction qui lui Ă©tait attribuĂ©, la cour d'appel en a exactement dĂ©duit que ce comportement Ă©tait fautif et a ainsi justifiĂ© l'allocation de dommages et intĂ©rĂȘts pour le prĂ©judice subi du fait de cette privation ; Vont dans le mĂȘme sens que mon analyse Ă©largie Ă  tout avantage en nature de logement de fonction ces dossiers - n° 1 - n° 2 __________________________Cordialement. Je rappelle ce qui nous est exposĂ© un membre du conseil syndical demande le remboursement de l'avantage en nature que je perçois Faire rembourser au salariĂ© un avantage en nature, il me semble que c'est le retirer et je rĂ©ponds donc Ă  la question que c'est interdit sauf si c'est prĂ©vu au contrat de travail ou Ă  la Convention Collective applicable... Il n'est pas question d'avantage en nature supplĂ©mentaire ni de loyer... __________________________Cordialement. Bonjour, Voici maintenant que c'est la personne qui nous interroge qui pose mal le problĂšme selon vous parce qu'il faudrait que ça puisse vous donner raison... Mais la rĂ©ponse que vous avez formulĂ©e l'est tout autant puisque nvous parliez de loyer, ce qui n'est pas le cas mĂȘme si vous prĂ©tendez que ça revient au mĂȘme... Ce qui revient au mĂȘme c'est que le salaire en nature fait partie intĂ©grante de la rĂ©munĂ©ration globale contractuelle et que donc l'employeur n'est pas fondĂ© Ă  en demander le remboursement pendant la suspension du contrat de travail et en particulier pendant un arrĂȘt pour accident de travail.... C'est vous qui dĂźtes que l'employeur doit suspendre le versement du salaire pendant un atrrĂȘt pour accident du travail contrairement Ă  ce qui est prĂ©vu Ă  l'art. 30 de la Convention collective nationale des gardiens, concierges et employĂ©s d'immeubles... Demander le remboursement d'une partie des indemnitĂ©s journaliĂšres de la SĂ©curitĂ© Sociale me paraĂźt ĂȘtre un enregistrement sans cause pour l'employeur et va Ă  l'encontre de toutes les rĂšgles lorsque dans certains cas elles sont plus Ă©leves que la rĂ©munĂ©ration mensuelle... __________________________Cordialement. Les experts-comptables et les rĂ©dacteurs du Lamy doivent ĂȘtre des ignorants pour considĂ©rer eux aussi que que le salaire en nature correspond Ă  un avantge en nature comme ce dossier et bien d'autres... Vous, vous ne vous ĂȘtes pas encore aperçue qu'un loyer on le paie alors qu'un avantage ou un salaire en nature on le perçoit... Il me semble que d'entrĂ©e j'ai soulignĂ© en citant l'ArrĂȘt de la cour de Casastion que c'est en absence de clause au contrat de travail ou de disposition Ă  la Convention Collective applicable qu'il n'y a rien Ă  rembourser et m^me si vous avez une dĂ©ficience de comprĂ©hension, je ne vais pas le rĂ©pĂ©ter Ă  chaque message... Vous alez mĂȘme jusqu'Ă  faire diversion en estimant que les avantages en nature sont sous-Ă©valuĂ©s et Ă  trouver aberrant les indemnisations prĂ©vues par la SĂ©curitĂ© Sociale et les Conventions Collectives, ce qui dĂ©montre si on en avait besoin votre mauvaise foi... Je ne vais pas discuter avec vous sur la Jurisprudence qui prĂ©voit que si les indemnitĂ©s journaliĂšres sont plus Ă©levĂ©es que le salaire habituel, elles doivent ĂȘtre reversĂ©es au salariĂ© si l'employeur bĂ©nĂ©ficie d'une subrogation ou conservĂ©es par le salariĂ© s'il les perçoit directement car ce serait vous instruire et je suis lĂ  avant tout pour informer l'intĂ©ressĂ© par des Jurisprudences et dossiers contrairement Ă  vous... Heureusement que pour vous la discussion est terminĂ©e cela vous Ă©vitera d'amplifier le ton polĂ©mique auquel j'ai Ă©tĂ© obligĂ© de rĂ©pondre et surtout de continuer Ă  raconter des bĂ©tises car ce que vous trouvez normal est avant tout des hĂ©rĂ©sies dues Ă  votre ignorance que vous consentez Ă  reconnaĂźtre Ă  demi-mots... Je reste bien sĂ»r Ă  la disposition de l'auteur du sujet pour parler sĂ©rieusement de Droit du Travail... __________________________Cordialement. Avez-vous dĂ©jĂ  un compte sur le site ? 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Cass. La rĂ©union de tous les lots entre les mains d’un mĂȘme propriĂ©taire entraĂźne de plein droit la disparition de la copropriĂ©tĂ© et la dissolution du syndicat qui ne survit que pour les besoins de sa liquidation ; les problĂšmes pratiques liĂ©s Ă 

La colĂšre des gardiens d’immeubleNathalie Perrier 07h00 ILS N’EN PEUVENT plus et le disent. Aujourd’hui, Ă  11 heures, les gardiens d’immeuble de Plaine Commune Habitat qui en emploie 200 , l’office HLM de Plaine Commune * , manifesteront avec leur direction devant la prĂ©fecture de Bobigny pour protester contre les violences dont ils sont victimes. Le mois dernier, en dix jours, trois employĂ©s ont Ă©tĂ© agressĂ©s par des locataires. En savoir plus Il vaut mieux fermer les yeux sur les trafics » Le 14 septembre, un des gardiens de la citĂ© Fabien de Saint-Denis a Ă©tĂ© frappĂ© Ă  coups de poing au visage par un rĂ©sidant dont les enfants Ă©taient coincĂ©s dans l’ascenseur. Il a eu les dents cassĂ©es et trois jours d’arrĂȘt de travail. Le 17 septembre, un de ses collĂšgues de la rĂ©sidence Basilique, toujours Ă  Saint-Denis, a Ă©tĂ© menacĂ© avec un couteau par un locataire, qui ne supportait pas sa remarque. Le 24 septembre, un gardien, encore citĂ© Fabien, a Ă©tĂ© rouĂ© de coups par des jeunes qui se promenaient avec une barre de fer prĂšs des locaux techniques. Il souffre de nombreuses fractures faciales et a dĂ» ĂȘtre opĂ©rĂ© Ă  deux reprises. Fin juillet, un autre gardien avait eu l’épaule cassĂ©e pour avoir fait trop de bruit en arrosant les plantes. Les conditions de travail se dĂ©gradent, constate Michel Digeon, de la CGT. Il y a des quartiers oĂč il devient difficile de faire son mĂ©tier, oĂč le seul fait de porter l’uniforme de gardien prĂ©sente un danger. » Trois agressions en dix jours La situation a empirĂ© en 2002 avec la disparition de la police de proximitĂ©. L’arrivĂ©e des Uteq NDLR unitĂ©s territoriales de quartier au Franc-Moisin est une bonne chose. Mais nos moyens restent limitĂ©s et, en cas d’incident, les gardiens se trouvent trĂšs isolĂ©s », commente StĂ©phane Peu, le prĂ©sident de l’office HLM. La semaine derniĂšre, Plaine Commune Habitat a engagĂ© des procĂ©dures d’expulsion Ă  l’encontre des trois familles concernĂ©es. Ce sera dorĂ©navant systĂ©matiquement le cas », prĂ©vient StĂ©phane Peu, qui invite tous les bailleurs dĂ©partementaux Ă  se rĂ©unir le 25 octobre. L’office HLM consacre chaque annĂ©e 900 000 € pour la sĂ©curisation de ses 16 000 logements. Nous faisons notamment appel, dans certains quartiers, Ă  des sociĂ©tĂ©s de sĂ©curitĂ©. Il nous faudrait une aide de l’Etat pour dĂ©velopper ce dispositif », indique StĂ©phane Peu. Et en mars, Ă  la suite de plusieurs agressions, le bailleur 3 F a dĂ©cidĂ© de retirer ses gardiens des Beaudottes, Ă  Sevran. * Huit communes composent Plaine Commune Aubervilliers, Epinay, La Courneuve, L’üle-Saint-Denis, Pierrefitte ,Saint-Denis, Stains, Villetaneuse. Le Parisien
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