Leserreurs, les plagiats et les fausses prĂ©dictions de la Bible. Introduction: En Occident, la religion a commis l'erreur fatale de se mĂȘler des faits empiriques: la Bible nous a ainsi gratifiĂ©s d'une longue liste d'affirmations prĂ©cises, officielles et indiscutables sur le cosmos et la biologie que nous savons ĂȘtre fausses.
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Dieuest mort dans la chair et le sĂ©jour des morts s’est mis Ă  trembler. C’est le premier homme qu’il va chercher, comme la brebis perdue. Il veut aussi visiter ceux qui demeurent dans les tĂ©nĂšbres et dans l’ombre de la mort. Oui. c’est vers Adam captif, en mĂȘme temps que vers Ève, captive elle aussi, que Dieu se dirige, et son

Alimentation4 Ă  5 moutons par hectare toute l'annĂ©e. On peut aller jusqu'Ă  6 Ă  10/ha avec du foin durant l'hiver. Pour 10/12 moutons, 1/2 fardeau par jour 15kg de foin. Donner des sels minĂ©raux de temps en temps en petites quantitĂ©s comme pour les vaches.Soins literie Leur rĂ©server toujours un endroit sec pour dormir. Beaucoup de ses parasites aiment l'humiditĂ©. Dans l'abri rĂ©servĂ© aux brebis, rĂ©pandre de la sciure rĂ©guliĂšrement pour en absorber l'urine abondante, ainsi que des cendres pour diminuer l' et post-soinsLe temps de gestation est d'environ 150 jours. La reproduction aura lieu en automne. Faire attention car les brebis peuvent ĂȘtre jalouses entre elles lorsqu'elles sont mise bas se fait gĂ©nĂ©ralement de janvier Ă  juillet. Ce calcule en fonction de la disponibilitĂ© en pĂąture pour l'allaitement. Pour prĂ©venir la mise bas, vĂ©rifier l'anus et la vulve, qui se dilatent beaucoup. Tailler la laine pour le voir, ainsi que la tailler autour des pis. Pincer les pis car un bouchon se forme parfois empĂ©chant l'agneau de tĂ©ter par manque de force. Quand la brebis va mettre bas elle ne se couche pas le soir et lĂšve la queue rester bien attentif. A ce moment la mettre Ă  part un box couvert 1,20x1,20. Au moment de la mise bas, si la brebis ne se tient pas couchĂ©e, la forcer Ă  s'allonger. Quand elle perd les eaux vĂ©rifier de quelle maniĂšre sort l'agneau. Si il ne sort pas facilement l'aider en le tirant dans le sens de la colonne Ă  l'aide d'une corde attachĂ©e aux pattes avant. Faire attention Ă  la tĂȘte, qu'elle soit bien dans l'axe. A ne pas souhaiter qu'il sort en siĂšge. Nettoyer la bouche avec un torchon pour enlever le liquide amniotique. Normalement le cordon ombilical tombe tout seul. Sinon couper avec un ciseau et faire un coude attachĂ© Ă  l'aide d'un lien en coton. Mettre rapidement l'agneau au contact de sa mĂšre pour qu'ils se reconnaissent sinon il te suit. Dans la premiĂšre 1/2h, l'agneau doit tĂ©ter. L'aider et si il n'y arrive pas traire la mĂšre et lui donner au biberon. Il faut ĂȘtre patient, plus qu'avec le veau. Lui faire des guilis vers l'anus pour le stimuler l'appĂ©tit. Au bout de 3 jours, l'agneau a reconnu sa mĂšre. Par contre, si la mĂšre ne veut pas le reconnaĂźtre a souffert pendant l'accouchement, mettre le petit Ă  part et lui donner le lait de sa mĂšre au biberon 3 Ă  4 fois par jour. Les agneaux peuvent saillir une femelle Ă  partir de 4 mois tandis que les agnelles ne peuvent ĂȘtre saillies qu'Ă  partir de 6 mois - 1 an environ. Il faut changer de reproducteur chaque annĂ©e. Mais il est important d'apprendre Ă  castrer Ă  1 mois, sinon ils se reproduisent et font des dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©s consanguinitĂ©. Il est difficile de castrer plus tard, car il risque de s'infecter laine + sueur. Couper la queue aux agnelles laisser 3-4 vertĂšbres, ceci permet une meilleure hygiĂšne, surtout pour l'accouplement. Pour les agneaux, leur laisser la queue longue. C'est aussi un bon moyen de les repĂ©rer SantĂ©Abattage DĂšs 6 mois, l'agneau peut ĂȘtre mis Ă  mort. Lui attacher les 4 pattes ensemble avec une corde fine. Couper la jugulaire Ă  l'aide d'un couteau aves le fil opposĂ© Ă  la trachĂ©e. Bien tirer cette derniĂšre. Une fois Ă©gorgĂ©, mettre un doigt dans la bouche pour qu'il continue Ă  respĂŹrer. Le pendre par les pattes de derriĂšre. Commencer par couper les testicules. Enlever rapidement la peau sinon, lorsque le corps se refroidit, la peau colle et est plus difficile Ă  retirer. Il faut commencer par la queue et finir au cou. DĂ©couper le cuir au niveau des pattes et descendre la peau avec une main entre le corps et le cuir bien propre et l'autre qui tire vers le bas. Pour vider la bĂ«te, commencer par dĂ©tacher l'anus, puis rompre le bassin au niveau de la soudure osseuse endroit bien spĂ©cifique. Continuer de dĂ©couper la peau du ventre en direction de la tĂȘte en faisant bien attention de ne pas percer les tripes. Quand l'ouverture est suffisante, dĂ©gager les tripes et finir la dĂ©coupe jusqu'Ă  l'oesophage, le dĂ©tacher. Nettoyer les abbats, en vue de les cuisiner coeur, panse, foie. Les reins restent attachĂ©s Ă  la carcasse, les otter. La panse, pour ĂȘtre nettoyĂ©e, racler avec un couteau pour enlever la fine peau intĂ©rieure retenant le reste d'herbe. La panse doit ĂȘtre blanchie 1mn. Les tripes doivent ĂȘtre bien lavĂ©es intĂ©rieure et extĂ©rieure. Pour ceci, les retourner Ă  l'aide d'un bĂątonnet et bien les rincer Ă  l'eau courante. Ne pas les faire cuire, si c'est pour en faire des peaux de saucissons, par contre les tremper un temps dans une solution de bicarbonate les blanchit et sel. Les gonfler. puis les faire sĂ©cher, dans un endroit couvert, sec et Ă  l'abri des rats. Lors de la prĂ©paration des saucissons, les tremper prĂ©alablement dans de l'eau Mort(la) et le Malheureux (I, 15) Le trĂ©pas vient tout guĂ©rir; Mort (la) et le BĂ»cheron (I, 16) Mais ne bougeons d’oĂč nous sommes: PlutĂŽt souffrir que mourir, C’est la devise des hommes. Mort (la) et le Mourant (VIII, I) La Mort ne surprend point le sage ; Il est toujours prĂȘt Ă  partir, S’étant su lui-mĂȘme avertir Il Ă©tait une fois une jeune brebis qui avait mis au monde trois petits agnelets un blanc, un brun et un noir. Elle les Ă©levait seule avec constance et courage, se souvenant avec tristesse de son premier Ă©poux un si beau bĂ©lier avec sa toison noire, puis du second, magnifique aussi, avec sa toison blanche. Des hommes cruels les tondaient rĂ©guliĂšrement. On ne pouvait plus savoir dĂšs lors qui Ă©tait le bĂ©lier noir et qui Ă©tait le bĂ©lier blanc. Mais un jour tous deux furent emmenĂ©s Ă  l’abattoir une fois leur rĂŽle de pĂšre accompli. La brebis savait fort bien ce qu’il Ă©tait advenu d’eux car, Ă  chaque fois qu’un bĂ©lier disparaissait, quelques mois plus tard le fermier ramenait une belle peau de bĂ©lier propre et nettoyĂ©e qu’il mettait fiĂšrement dans l’appentis. Elle l’avait parfaitement reconnue. Aussi avait-elle expliquĂ© Ă  ses trois fils que plus tard il leur faudrait s’enfuir de la ferme et aller vivre dans la montagne parmi les mouflons et les chamois. Cette jeune mĂšre fort cultivĂ©e se souvenait trĂšs bien du triste sort de la chĂšvre de monsieur Seguin ou des sept chevreaux un seul avait pu se cacher. Alors sans relĂąche elle avait enseignĂ© aux trois petits turbulents toutes les ruses et mĂ©tamorphoses du loup. Il Ă©tait capable de se dĂ©guiser en petite fille, en grand-mĂšre ou mĂȘme en brebis s’il le fallait. Elle leur avait expliquĂ© qu’il ne fallait faire confiance Ă  aucun loup, qu’il soit chrĂ©tien, musulman ou qu’il se prĂ©tende non-croyant et vĂ©gĂ©tarien. Patiemment elle leur apprit Ă  courir, Ă  escalader les murs et les rochers prĂšs de la ferme mieux que des cabris et surtout Ă  ne pas se comporter comme des moutons de Panurge en prĂ©sence d’un quelconque danger et surtout face au loup. Afin qu’ils puissent survivre dans la montagne, elle leur apprit Ă  manger des racines et des ronces comme les chĂšvres, des glands comme les cochons et des baies sauvages comme les marmottes. Puis Ă  regarder au ciel le manĂšge des buses qui piquaient droit sur les petits mulots ou les lapins Ă©garĂ©s en leur rappelant que dans la montagne les aigles beaucoup plus puissants pouvaient les attaquer. Les petits agneaux avaient bien grandi et la maman brebis pressentit qu’il Ă©tait temps de prĂ©parer leur fuite dans la montagne. Elle demeurait sur le qui vive et inquiĂšte car elle avait bien observĂ© que son mouton noir avait beaucoup mieux suivi son apprentissage que ses deux frĂšres trop agitĂ©s. Le petit blanc, le plus insouciant Ă©tait plus prĂ©occupĂ© de faire boucler sa toison au soleil que pressĂ© d’écouter ses conseils. Quant au petit brun, son esprit Ă©tait plus accaparĂ© par la laine ondulĂ©e et parfumĂ©e des blanches agnelles que par la crainte d’un hypothĂ©tique grand mĂ©chant loup qu’il n’avait jamais vu. Les mĂšres exagĂšrent toujours, pensait-il, pour que nous nous tenions tranquilles. Le fermier passait de plus en plus souvent dans la bergerie et caressait avec sourire et satisfaction le dos des trois petits moutons bien nourris, rĂȘvant aux bĂ©nĂ©fices. DĂ©cidemment il avait bien fait de mĂ©langer les races ! Il n’aurait pas besoin de teinture pour fabriquer ses pulls en pure laine multicolore, et ces petits corps Ă©toffĂ©s seraient bientĂŽt excellents... Maman brebis comprit qu’il n’y avait plus une minute Ă  perdre ses petits partiraient cette nuit mĂȘme. Elle avait tout prĂ©vu rĂ©cupĂ©rĂ© les quatre peaux de mouton de leurs pauvres pĂšres et grands-pĂšres dans l’appentis car elle savait qu’un froid trĂšs vif sĂ©vissait la nuit dans la montagne une blanche pour le plus jeune, une brune pour le cadet et deux noires pour l’ainĂ©. AvisĂ©e et trĂšs habile elle avait repliĂ© les peaux de façon Ă  rĂ©aliser trois sacs de couchage avec des poches et leurs attaches en laine tressĂ©e qu’elle avait fabriquĂ©e avec l’aide de son amie la poule qui se servait de son bec pour faire les trous des passe-lacets. Elle les disposerait sur le dos des moutons comme la selle du cheval de la ferme. Ainsi ces belles peaux serviraient pour le transport de la nourriture puis de couverture Ă  chaque nuitĂ©e. Pour les rĂ©conforter, bien qu’ils ne fussent plus des agnelets, elle leur donna exceptionnellement du lait car elle attendait un futur petit mouton en fait ce serait une agnelle d’aprĂšs l’échographie du vĂ©tĂ©rinaire. Elle empila de grosses rations de fromage sec et dense dans les sacs qu’elle mit sur leur dos. Afin qu’ils ne puissent pas ĂȘtre repĂ©rĂ©s par quiconque durant leur long voyage, elle dĂ©noua Ă  regret leur collier et sa clochette qu’elle mit autour de son propre cou. Et ce fut le grand dĂ©part Partez », leur dit la mĂšre, Ne vous retournez pas et montez au plus haut dans la montagne, lĂ  oĂč ni le loup ni les hommes ne pourront vous atteindre. Apprenez Ă  vivre avec les chamois et les superbes mouflons, racontez et montrez-leur ce que je vous ai appris et ils vous aideront Ă  progresser encore et Ă  vous mĂ©fier des gros oiseaux rapaces ». L’ainĂ© s’élança le premier sans se retourner, mais ses frĂšres eurent ce moment d’hĂ©sitation et d’intense Ă©motion. Finie la douceur de leur mĂšre, ils ne la reverraient jamais, ni ne verraient naĂźtre leurs frĂšres et sƓurs. Seul l’ainĂ© avait compris que la sĂ©paration Ă©tait la condition de leur survie pour lui et ses frĂšres. Venez vite, ne regardez pas en arriĂšre ! » s’exclama-t-il. Il ne fallait pas qu’ils voient les yeux de leur mĂšre qui n’avait pu retenir ses larmes, ni ne perçoivent les sanglots qui secouaient ses boucles splendides en mĂȘme temps que leurs trois petites clochettes. Ils avancĂšrent et grimpĂšrent les premiĂšres pentes douces toute la nuit, se retenant bien de brouter l’herbe verte comme la jeune chĂšvre Blanquette. Et lorsque l’aube pointa, ils dĂ©cidĂšrent de se reposer prĂšs des rochers et des arbres. Mais le mouton noir prĂ©vint ses frĂšres Il nous faut poursuivre sans attendre ». Il faisait jour, il savait qu’il n’y avait rien Ă  craindre des loups musulmans car c’était la pĂ©riode du Ramadan. Mais il restait tous les autres loups, et il lui Ă©tait impossible de savoir quelle Ă©tait leur croyance, Ă  moins de bĂȘler Allah Akbar » pour tenter d’effrayer les loups non musulmans. Leur progression prudente mais rapide vers les premiers contreforts de la montagne se poursuivit et comme leur avait enseignĂ© leur mĂšre ils n’avançaient pas Ă  la queue leu leu comme des moutons ignares mais avaient formĂ© un triangle tournant ce qui leur permettait, tout en avançant, de mieux observer de tous les cĂŽtĂ©s. Si bien qu’ils parvinrent sains et saufs au pied des roches Ă  la nuit tombante. Il y avait de nombreuses grottes oĂč ils pourraient passer la nuit en sĂ©curitĂ©. Comme leur avait expliquĂ© leur mĂšre il ne fallait pas qu’ils se mettent tous trois dans le mĂȘme abri mais se sĂ©parer, puis barricader l’entrĂ©e de leur cachette respective. Mais le petit mouton noir avisĂ© savait aussi qu’il lui faudrait, comme c’est le cas pour les terriers des rongeurs, trouver des grottes distinctes certes, mais communicantes de l’intĂ©rieur de sorte qu’ils puissent se secourir et se rassembler pour faire face collectivement au danger en cas de besoin. Ce qu’il finit par trouver, car dans les rĂ©gions montagneuses rocheuses et caillouteuses l’eau gĂ©nĂ©reuse, sinueuse et tumultueuse creuse de nombreuses galeries naturelles. HĂ©las, rĂ©veillĂ© par le crissement de leurs sabots sur le granit, un vieux loup affamĂ© et cachĂ© dans les buissons non loin de lĂ  depuis des heures, avait rĂ©alisĂ© l’arrivĂ©e de ces jeunes moutons. RusĂ© et Ă©duquĂ© car informĂ© des mĂ©saventures de ses ancĂȘtres, il ne se montra pas et Ă©tudia d’abord le manĂšge des nouveaux venus. Il vit d’abord le plus jeune mouton blanc, bien insouciant, prĂ©parer l’entrĂ©e de son abri en la dissimulant avec un monceau de feuilles mortes. Bien qu’humides, elles ne pesaient pas lourd et le petit malin s’adressa Ă  ses frĂšres triomphant Vous voyez j’ai terminĂ© le premier, c’est facile. Et qui pourrait imaginer qu’il y a une petite grotte derriĂšre ce gros tas de feuilles mouillĂ©es », puis il se mit Ă  cabrioler de joie et Ă  entonner une de ces chansons que les jolies bergĂšres leur avaient apprises Il Ă©tait une bergĂšre et ron et ron petit patapon, il Ă©tait une bergĂšre qui gardait ses moutons ron ron... » Le petit mouton brun, plus rĂ©aliste, barricada son entrĂ©e avec des branches d’arbre qu’il entrecroisa pour que cela fut plus solide et en mit plusieurs couches. Satisfait de son travail et fier de lui, il rejoignit son frĂšre blanc. Ils entonnĂšrent Ă  tue tĂȘte Il pleut, il pleut bergĂšre rentre tes blancs moutons... » __ cette chanson que leur serinait leur berger depuis leur plus tendre enfance et qu’ils connaissaient par coeur__ car des nuages noirs avaient fait leur apparition sur la crĂȘte des cimes. Ils se moquĂšrent de leur grand frĂšre noir en nage dont les muscles tremblaient encore car il avait roulĂ© trois grosses pierres de granit deux pour fermer les galeries intĂ©rieures et l’autre pour l’entrĂ©e principale. La nuit venue, les trois frĂšres rĂ©unis prirent une portion de leur ration de fromage, puis chacun rejoignit sa grotte, vida puis dĂ©plia son sac et s’endormit, enveloppĂ© dans sa peau de mouton supplĂ©mentaire familiale et rassurante, en pensant Ă©mus Ă  leur tendre mĂšre. L’image de leur pĂšre qu’ils n’avaient connu que leur lorsqu’ils Ă©taient agnelets s’était estompĂ©e mais planait encore dans leur rĂȘves. La brave brebis, par amour, ne les avait jamais informĂ©s du sort que les hommes leur avaient rĂ©servĂ©. Cependant le mouton noir plus perspicace se doutait bien que quelque chose de terrible Ă©tait arrivĂ©, et c’est bien pour cela qu’il avait perdu Ă  jamais l’insouciance de ses frĂšres blanc et brun. Pendant ce temps, au dehors, les Ă©clairs lumineux de l’orage qui se rapprochait, zĂ©braient les flancs de la montagne et Ă©taient suivis de coups de tonnerre. Cependant les braves petits moutons Ă©puisĂ©s par leur longue marche avaient sombrĂ© dans un profond sommeil, Ă  l’exception de l’ainĂ© qui, bien que somnolant, restait en veille. L’heure du loup qui avait tout observĂ© Ă©tait arrivĂ©e, il se dirigea, Ă  pas de loup, vers le tas de feuilles rousses. Il n’eut mĂȘme pas besoin de souffler, en quelques lĂ©gers coups de patte l’entrĂ©e fut dĂ©gagĂ©e et les yeux luisants de violence il se prĂ©cipita gueule ouverte vers l’agneau blanc rĂ©veillĂ© en sursaut et terrorisĂ©. Mais par chance le loup avait seulement plantĂ© ses crocs dans la peau de mouton blanc qui servait de couverture. TrĂšs agile le jeune mouton put se dĂ©gager puis s’enfuir avant que le loup ne rĂ©alise sa mĂ©prise. BĂȘlant de frayeur il s’engouffra dans la galerie qui le menait Ă  la chambre de son grand-frĂšre, le mouton noir, qui sorti brutalement de sa torpeur fit basculer prestement la lourde pierre empĂȘchant le loup de pĂ©nĂ©trer. Fou de rage le loup ressortit et bondit devant l’autre entrĂ©e et Ă  grands coups de pattes et de dents dĂ©truisit les trois couches de branchages qui protĂ©geaient la grotte du petit mouton brun qui lui rĂȘvait bĂ©atement aux petites agnelles de la vallĂ©e. Ne perdant pas une seconde, le carnivore se jeta sur lui, plantant cette fois ses dents acĂ©rĂ©es dans la peau de mouton brune, le rĂ©veillant brutalement et blessant lĂ©gĂšrement le dos du dormeur dont le sang ne fit qu’un tour. Mais lĂ  encore, la peau tannĂ©e ancestrale de mouton brun et l’entrainement qu’il avait reçu jour aprĂšs jour de sa mĂšre lui sauvĂšrent la vie. En dĂ©pit de l’horreur de l’attaque et de la douleur, Il se prĂ©cipita dans la galerie qui menait Ă  la grotte de son frĂšre qui fit basculer la seconde pierre juste Ă  temps. Sa fureur dĂ©cuplĂ©e le loup affamĂ© ressortit non il ne serait pas pitoyable comme son chrĂ©tien de grand-pĂšre et ses trois petits cochons roses ridicules. Il avait fait des Ă©tudes scientifiques lui ! Pensa-t-il. Il s’empara d’une longue et Ă©paisse branche de bois dur qui lui servirait de levier pour forcer l’entrĂ©e de granit. Il savait que la pluie qui maintenant s’était abattue sur la montagne lui faciliterait la tĂąche car la terre dĂ©trempĂ©e bien que plus lourde lui Ă©viterait d’ĂȘtre aveuglĂ© par les flots de poussiĂšre habituels qu’il soulevait Ă  chaque fois qu’il traquait les lapins dans les terriers. Effectivement avec son Ă©nergie dĂ©moniaque dĂ©multipliĂ©e par la rage et malgrĂ© sa vieillesse, il commença Ă  Ă©vacuer la terre autour du bloc de pierre, puis introduisit la longue tige et pesa de toutes ses forces sur son extrĂ©mitĂ© pour Ă©branler la roche. De leur cĂŽtĂ© les trois petits moutons entamaient le combat pour leur vie. La fĂ©rocitĂ© du loup et ses hurlements, les Ă©clairs, la pluie battante et le bruit du tonnerre amplifiĂ© par la grotte caverneuse s’étaient conjuguĂ©s pour ajouter de l’horreur Ă  cette bataille dantesque qui semblait d’avance perdue pour les innocents herbivores. Unissant leurs efforts ils grattĂšrent le sol avec leurs petits sabots pour remettre de la terre devant la pierre au fur et Ă  mesure que le loup Ă©vacuait celle-ci et enfonçait son levier pour la faire glisser ou rouler. Comme pour la Noiraude, le combat dura toute la nuit. Aux premiĂšres lueurs de l’aube, le loup comme les agneaux Ă©taient Ă©puisĂ©s, mais ces derniers cĂ©daient peu Ă  peu du terrain et le loup, les babines frĂ©missantes, malgrĂ© sa fatigue avait perçu que sa victoire Ă©tait proche. Mais au moment oĂč tout espoir semblait perdu, le petit mouton noir rĂ©alisa d’un coup qu’ils avaient ainsi creusĂ© dans la grotte derriĂšre la pierre un trou bĂ©ant de plusieurs mĂštres de profondeur. Ne craignez rien mes frĂšres » dit-il, nous le tenons, aidons le loup Ă  faire rouler la pierre sur la terre bien sĂšche de la grotte de sorte qu’il pense pouvoir se jeter sur nous puis nous dĂ©vorer d’un seul coup. Et en mĂȘme temps il saisit les deux peaux de mouton noir que sa mĂšre lui avait donnĂ© et demanda Ă  ses frĂšres de s’en couvrir pour se dissimuler, puis de se serrer trĂšs fort l’un contre l’autre afin qu’il puisse monter sur leurs Ă©paules et former Ă  l’arriĂšre du trou avec eux une pyramide compacte. Il leur demanda de plonger leurs museaux dans la terre afin de les camoufler. Ainsi, dans la pĂ©nombre cette pyramide Ă©clairĂ©e, en de trĂšs courts instants, par les Ă©clairs fulgurants ressemblait Ă  un loup noir colossal, monstrueux et d’une cruautĂ© dĂ©moniaque, car les trois petits moutons avaient Ă  l’unisson mĂȘlĂ© et modifiĂ© leurs bĂȘlements angoissĂ©s et rauques aux coups de tonnerre rĂ©pĂ©tĂ©s qui suivaient les Ă©clairs. De la sorte on pouvait trĂšs bien confondre ce cri collectif avec celui d’un lupus Magnus, tueur de loups et d’hommes Ă  la fois. Le petit mouton noir avait tout compris d’habitude c’était le loup qui se dĂ©guisait et montrait patte blanche pour tromper les chevreaux, mais cette fois ce serait l’inverse. Avec cette ruse Il tentait le tout pour le tout pour lui et ses frĂšres, pour leurs vies. La rĂ©sistance derriĂšre la pierre ayant brusquement cessĂ©e, le loup sentit sa victoire proche. Il redoubla d’efforts dĂ©sormais inutiles la roche libĂ©rĂ©e roula si facilement sur la terre sĂšche de la grotte qu’en une fraction de seconde il se trouva face Ă  ce loup gĂ©ant Ă  huit pattes qui le menaçait, plus effrayant encore que celui du GĂ©vaudan dont lui avait parlĂ© son grand-pĂšre. AveuglĂ© de terreur par cette bĂȘte Ă©pouvantable, il ne vit pas le trou bĂ©ant Ă  ses pieds, et mu par cette force de survie que vous donne la peur d’une mort horrible, il poussa la pierre de toutes ses forces en avant pour tenter d’écraser le monstre qui se prĂ©sentait devant lui. EmportĂ© par l’élan il tomba en mĂȘme temps que la grosse pierre dans l’énorme trou que les trois frĂšres avait creusĂ© sans le savoir, avec l’énergie du dĂ©sespoir la nuit durant. Les moutons quittĂšrent leur dĂ©guisement. Les frĂšres s’embrassĂšrent de joie, ils Ă©taient sauvĂ©s. Ils Ă©taient les meilleurs ! Ils regardĂšrent ce vieux loup encore en vie au fond de la fosse les pattes coincĂ©es dans la pierre, condamnĂ© Ă  une mort lente et certaine. Tant pis pour lui ! Il ne leur restait plus qu’à quitter les lieux et rejoindre en hĂ©ros les chamois et les mouflons des hauts sommets. Mais le petit mouton blanc interpella ses frĂšres Alors nous ne reverrons plus jamais notre mĂšre et nos frĂšres et qui les protĂšgera dĂ©sormais alors que nous avons vaincu le loup aussi dangereux que ce vieux fermier ? ». Le petit agneau brun regarda le vieux loup affamĂ© au fond de son trou, il Ă©tait bien inoffensif dĂ©sormais. Lui aussi sans doute avait des enfants qui l’attendait aprĂšs la chasse et Ă©tait menacĂ© par les fermiers qui voulaient l’exterminer songea t-il. Alors pris de compassion il retira de son sac sa rĂ©serve de fromage de brebis et prenant son courage Ă  deux pattes il descendit dans la fosse, en assurant ses sabots fourchus, comme les cabris sur les anfractuositĂ©s pierreuses. Il lui offrit sa part de fromage sans s’attarder et il remonta. La pauvre bĂȘte l’engloutit d’un coup avec un regard reconnaissant. MĂ©fiant les trois moutons l’observĂšrent, mais plutĂŽt que de repartir immĂ©diatement vers la montagne ils continuĂšrent Ă  le nourrir avec du fromage, des baies sauvages et des glands pendant plusieurs jours. Curieusement cette prĂ©sence, fut-elle celle d’un loup, semblait au fil des jours rĂ©conforter les jeunes moutons, puisqu’aucun autre loup ne s’était aventurĂ© prĂšs de leur grotte. Peut-ĂȘtre cette image du loup affaibli et rĂ©duit Ă  l’impuissance leur rappelait-t-elle celle, furtive, de leur pĂšre bĂ©lier si fort et si combatif qui protĂ©geait le troupeau et que le cruel fermier avait un beau matin d’hiver rĂ©duit Ă  l’impuissance et humiliĂ© entravĂ©, rasĂ©, numĂ©rotĂ©, puis poussĂ© sans mĂ©nagement dans un camion avec beaucoup d’autres moutons tondus. Le loup avait repris quelques forces mais semblait avoir changĂ©. Le fromage de brebis Ă©tait excellent, il rĂ©alisait petit Ă  petit qu’il n’était donc pas nĂ©cessaire de manger les moutons pour vivre. Il Ă©tait musulman certes, mais lui aussi avait Ă©tĂ© Ă©duquĂ© par une mĂšre aussi gĂ©nĂ©reuse que celle de Romulus et RĂ©mus. Il rĂ©alisa qu’il Ă©tait en prĂ©sence de vrais petits agneaux de Dieu, ceux qui sont capables malgrĂ© leur vulnĂ©rabilitĂ© de comprendre le malheur et la souffrance des autres bien plus cruels qu’eux. Alors mettant toute sa sincĂ©ritĂ© dans sa voix de loup il s’adressa Ă  eux Aidez moi Ă  me libĂ©rer et je vous jure sur la tĂȘte du prophĂšte que je redescendrai avec vous Ă  la ferme, que vous reverrez votre mĂšre Ă  qui je dois une reconnaissance Ă©ternelle de vous avoir mis au monde. Je vous protĂ©gerai dĂ©sormais, des fermiers et de tous ceux qui voudront vous emmener Ă  l’abattoir, mais aussi des autres loups qui vous menaceront. » Le petit mouton noir restait mĂ©fiant tant sa mĂšre l’avait mis en garde des fourberies du loup. Mais en rĂ©flĂ©chissant il savait aussi que le fermier Ă©tait pire que le loup car tous les agnelets, ses propres frĂšres, non destinĂ©s Ă  devenir bĂ©lier, c’est-Ă -dire presque tous, finiraient trĂšs jeunes Ă  l’abattoir, leurs belles agnelles restant rĂ©duites Ă  mettre au monde des petits, Ă  produire du lait, du fromage et de la laine vierge une vie durant. Eternelles veuves gĂ©nitrices, puis devenues stĂ©riles elles-mĂȘmes condamnĂ©es Ă  leur tour, comme les vieux bĂ©liers de la bergerie. Mesurant les risques il se dĂ©cida le vieux loup Ă©tait encore assez faible mais peut-ĂȘtre Ă©tait-il sincĂšre. Il se souvint aussi que certaines louves, comme lui avait racontĂ© sa vieille tante brebis, sont capables de nourrir des petits d’hommes. Alors peut-ĂȘtre ce loup lui aussi avait eu vent de cette histoire et cette capacitĂ© de modifier son Ăąme de loup pour devenir meilleur. Courageusement il descendit Ă  son tour dans la fosse et dĂ©gagea les pattes Ă©crasĂ©es et brisĂ©es de la bĂȘte Ă  l’aide de la tige en bois. Il s’assura que le loup n’avait pas d’autres fractures. Il lui fit, aidĂ© de ses frĂšres la courte Ă©chelle, ce qui permis au loup de se hisser pĂ©niblement hors de la fosse car ses pattes arriĂšres fonctionnaient encore, preuve que sa colonne vertĂ©brale n’avait pas Ă©tĂ© atteinte. Puis ils le mirent en position latĂ©rale de sĂ©curitĂ©, qui est celle des agneaux dans le ventre de leur mĂšre. Ils lui firent deux attelles avec les branches qui jonchaient la seconde galerie et disposĂšrent les feuilles mortes de la premiĂšre galerie en guise de matelas. Enfin ils l’enveloppĂšrent dans la peau de mouton noir supplĂ©mentaire. Gardant les trois autres pour eux-mĂȘmes car la grotte aprĂšs l’orage Ă©tait devenue encore plus froide et humide. Plusieurs jours de repos furent nĂ©cessaires, car le vieux loup avait Ă©tĂ© sĂ©rieusement blessĂ©. Au fur et Ă  mesure que son Ă©tat s’amĂ©liorait, il prit conscience que sans cette brave brebis, qui avait appris des rudiments de secourisme Ă  ses enfants il ne serait plus en vie. Le matin du sixiĂšme jour, il s’adressa Ă  eux d’un ton ferme et dĂ©cidĂ© Je vais mieux, nous allons redescendre vers la ferme, vous aller revoir votre mĂšre et vos frĂšres et sƓurs, je tiendrai mes engagements, garderai la bergerie mieux que vos chiens pourraient le faire, je vous protĂ©gerai du fermier jusqu’à la fin de mes jours. » DĂšs le lendemain le petit groupe se remit en marche vers la vallĂ©e le loup encadrĂ© par les agneaux et cachĂ© sous les peaux de moutons pour ne pas Ă©veiller les soupçons. Au crĂ©puscule le petit groupe parvint enfin Ă  la ferme. Ainsi le loup n’avait pas menti, il avait ramenĂ© les petits Ă  leur mĂšre. Laissons Ă  chacun d’entre nous imaginer la joie indicible de la mĂšre brebis, qui entre-temps avait mis son agnelle au monde. Quelques annĂ©es plus tard... Introduit dans la bergerie ce vieux loup reconnaissant et honnĂȘte tint si bien parole que le monde de la vallĂ©e changea en quelques annĂ©es. Les loups Ă©taient dĂ©sormais accompagnĂ©s des jolies bergĂšres qui ne tuaient plus les petits chatons qui mangeaient leur fromage car il y en avait Ă  profusion. Le loup surveillait avec les chiens de berger des troupeaux entiers. Le fermier touchĂ© par tant de solidaritĂ© animale, mais peut-ĂȘtre craignant que l’animal ne devienne plus humain que l’homme et que Dieu nous abandonne Ă  leur profit avait recentrĂ© son activitĂ© uniquement sur la laine, le lait et les fromages. Mais en agriculteur avisĂ©, Il avait Ă©galement diversifiĂ© son activitĂ©. Prenant acte de cette conjoncture favorable, il utilisa avec leur consentement, les cornes de bouc et de bĂ©lier combatifs devenues inutiles grĂące au loup protecteur, pour fabriquer ces nombreux bijoux ruraux qui permettraient aux citadins de rĂȘver Ă  leurs campagnes perdues. Devenu un brave fermier il rĂȘvait aux piĂšces d’or qui ruisselaient sur ses terres et il n’eut plus besoin de compter ses moutons pour s’endormir du sommeil du juste. Quant au vieux loup, il avait lui aussi rĂ©alisĂ© que pour sauver ses propres petits-enfants il fallait faire la paix avec tous les autres animaux et s’expliquer avec tous les hommes. Il pouvait dĂ©sormais compter sur la mĂšre brebis, avec laquelle il partageait dĂ©sormais la plus belle vie celle de tous les jours. OUI vraiment, le monde meilleur Ă©tait en train de naĂźtre, ici et maintenant chez nous, sur cette terre, dans les montagnes.

Etle mouton, se souvenant de l'odeur d'un agneau pendant le lĂ©chage, n'interfĂšre jamais avec le processus de succion. 4-9 heures aprĂšs l'agnelage, l'animal est nourri. Il est important de nourrir les moutons de la mĂȘme maniĂšre qu'avant l'accouchement - il n'est pas recommandĂ© de modifier le rĂ©gime alimentaire.

Une des brebis Ă©viscĂ©rĂ©e de la gorge au ventre par les vautours. Jean-Pierre Lagarde publiĂ© le 31 mai 2022 Ă  18h17, modifiĂ© Ă 18h51. Ce lundi 30 mai, des vautours ont attaquĂ© le troupeau de brebis de Jean LarrĂ©chĂ© dans une prairie situĂ©e au pied de la cĂŽte de Lembeye Ă  Simacourbe. Le troupeau de moutons de Jean LarrĂ©chĂ© broutait sur une prairie situĂ©e au pied de la cĂŽte de Lembeye sur la commune de Simacourbe. Mais ce lundi 30 mai, Ă  16 h, les bĂȘtes ont subi une attaque de vautours. L’éleveur alertĂ© par un voisin de Peyrelongue-Abos, n’a pu alors que constater la mort de 3 brebis...Le troupeau de moutons de Jean LarrĂ©chĂ© broutait sur une prairie situĂ©e au pied de la cĂŽte de Lembeye sur la commune de Simacourbe. Mais ce lundi 30 mai, Ă  16 h, les bĂȘtes ont subi une attaque de vautours. L’éleveur alertĂ© par un voisin de Peyrelongue-Abos, n’a pu alors que constater la mort de 3 brebis et trois agneaux qui ont Ă©tĂ© Ă©viscĂ©rĂ©s par ces rapaces. La rĂ©daction vous conseille Ce mardi, 3 brebis supplĂ©mentaires sont dĂ©cĂ©dĂ©es de leurs blessures et une dixiĂšme ne passera certainement pas la nuit. L’éleveur est abattu car son troupeau est en bonne santĂ© et les agneaux avaient dĂ©jĂ  plus de 2 et 3 mois
 »Des attaques minoritairesUn technicien de l’Office Français de la biodiversitĂ© OFB, qui habite un village proche, est venu dresser le constat de l’attaque. Cet organisme estime que les interventions ante mortem de la part du Vautour fauve sont trĂšs minoritaires lors des signalements de dommages au bĂ©tail et qu’en gĂ©nĂ©ral les attaques trĂšs rapides des vautours sont liĂ©es Ă  des phĂ©nomĂšnes de mort subite de bĂ©tail considĂ©rĂ© jusque-lĂ  en bonne santĂ© entĂ©ro-toxĂ©mie, prĂ©dation par des chiens errants, accident au vĂȘlage.PrĂ©sident cantonal de la FNSEA et maire de Moncaup, Gabriel Hugues s’est rendu immĂ©diatement sur les lieux pour conseiller et aider le propriĂ©taire Ă©leveur, domiciliĂ© Ă  Juillacq, dans les dĂ©marches administratives Ă  attaques hors zone de montagneLes Ă©leveurs du PiĂ©mont PyrĂ©nĂ©en sont rarement, voire jamais dĂ©dommagĂ©s, car ils sont hors zone d’élevage en montagne, pourtant, les vautours peuvent monter jusqu’à 4 000 m en utilisant les courants ascendants thermiques et peuvent parcourir des centaines de kilomĂštres Ă  la recherche de nourriture 300 Ă  400 km par jour dans des conditions favorables.Aussi, sachant que de nombreuses personnes se sont arrĂȘtĂ©es pour prendre des photos ou filmer les vautours, l’éleveur Jean LarrĂ©chĂ© demande que lui soient envoyĂ©s tous documents pouvant Ă©tayer son dossier contact Entre 20 et 40 attaques par an dans les PyrĂ©nĂ©es Des cas prĂ©sumĂ©s d’intervention de vautours fauves sur des bĂȘtes vivantes sont rĂ©guliĂšrement signalĂ©s par les Ă©leveurs dans plusieurs rĂ©gions Espagne, PyrĂ©nĂ©es, Massif central
Dans les PyrĂ©nĂ©es françaises, depuis le signalement d’un premier cas en 1993, ceux-ci sont devenus rĂ©guliers 8 Ă  17 par an de 1997 Ă  2001, atteignant un pic de 127 en 2008. Leur nombre a ensuite diminuĂ©, jusqu’à se stabiliser ces derniĂšres annĂ©es entre 20 et 40 cas par an pour l’ensemble des 6 dĂ©partements concernĂ©s PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques, Hautes-PyrĂ©nĂ©es, Haute-Garonne, AriĂšge, Aude, PyrĂ©nĂ©es-Orientales.Si on observe une saisonnalitĂ© de ces signalements, les pĂ©riodes connaissant le plus grand nombre de dĂ©clarations mai-juin puis secondairement aoĂ»t-octobre concordent cependant avec le pic des mises bas chez les bovins.
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Chaquejour, depuis deux semaines, les Ă©leveurs du pays de Saint-FĂ©licien voient mourir, en moyenne, quatre de leurs bĂȘtes. SAINT-FÉLICIEN. AprĂšs la mort de 60 bĂȘtes, les chiens errants dans L’association L214 publie une nouvelle enquĂȘte sur le sort rĂ©servĂ© aux agneaux au sein de l’exploitation de la SARL Grimal, dans l’Aveyron, ainsi que dans l’abattoir industriel d’Arcadie Sud-Ouest, oĂč certains finissent leur vie. L’association a portĂ© plainte contre les deux Ă©tablissements, notamment pour sĂ©vices graves » dans le cas de l’abattoir. Comme vous pouvez le voir sur les images ci-dessous, tournĂ©es en janvier et fĂ©vrier 2020, ces agneaux, issus de la filiĂšre du roquefort, vivent entassĂ©s dans la pĂ©nombre, au milieu des cadavres de certains de leurs congĂ©nĂšres.> Voir la vidĂ©o attention, ces images peuvent choquer La suite aprĂšs la publicitĂ© Le visionnage de cette vidĂ©o est susceptible d'entraĂźner un dĂ©pĂŽt de cookies de la part de l'opĂ©rateur de la plate-forme vidĂ©o vers laquelle vous serez dirigĂ©e. Compte-tenu du refus du dĂ©pĂŽt de cookies que vous avez exprimĂ©, afin de respecter votre choix, nous avons bloquĂ© la lecture de cette vidĂ©o. Si vous souhaitez continuer et lire la vidĂ©o, vous devez nous donner votre accord en cliquant sur le bouton ci-dessous. Des images particuliĂšrement difficiles Ă  supporter. Elles montrent des milliers d’agneaux entassĂ©s dans seize bergeries sans jamais avoir accĂšs Ă  l’extĂ©rieur. De nombreux agneaux semblent malades, atteints par exemple de maladies respiratoires. D’autres boĂźtent et peinent Ă  boire. Certains agonisent pendant des heures sans recevoir de soins. Des bacs d’équarrissage sont remplis d’animaux morts. Le problĂšme, c’est la promiscuitĂ©, qui induit la saletĂ©, la transmission des virus, le dĂ©faut de soin », estime SĂ©bastien Arsac, porte-parole de l’association L214, dont la plainte est fondĂ©e sur une directive datant de 1990, faute de dispositions plus Arthus-Bertrand La souffrance animale est une chose qui m’insupporte » Au sein de l’exploitation de la SARL Grimal, situĂ©e Ă  Rullac-Saint-Cirq, au milieu des champs, 120 000 agneaux par an sont engraissĂ©s dans la pĂ©nombre, rapporte l’association. Elle pointe la responsabilitĂ© de la filiĂšre du roquefort. Quel rapport avec le fromage ? L’exploitation aveyronnaise engraisse 10 % des agneaux qui naissent sur le territoire de l’appellation d’origine protĂ©gĂ©e du des dĂ©fenseurs de la cause animale pas si fĂ©roces ! MĂȘme les plus petits Ă©leveurs vendent leurs agneaux Ă  des Ă©levages intensifs »Car pour produire le fromage, les brebis doivent donner naissance Ă  des agneaux. Seulement un quart sont gardĂ©s sur les exploitations pour renouveler le cheptel, rappelle L214. Les autres basculent dans la filiĂšre de la viande, le plus souvent dans des Ă©levages suite aprĂšs la publicitĂ©Sur les images tournĂ©es par l’association, le contraste visuel entre l’état des agneaux les plus chanceux et ceux envoyĂ©s dans des Ă©levages intensifs est saisissant. Les produits laitiers peuvent paraĂźtre anodins mais leur production est liĂ©e Ă  la naissance des agneaux. Il ne s’agit pas seulement de la production industrielle, mais de toutes les exploitations laitiĂšres. MĂȘme les plus petits Ă©leveurs vendent leurs agneaux Ă  des Ă©levages industriels intensifs. Il peut arriver qu’ils engraissent eux-mĂȘmes leurs agneaux, mais c’est trĂšs rare »Ces chefs qui ont leur propre fermeAbattoir aux pratiques dĂ©faillantes »L’enquĂȘte de l’association de dĂ©fense des animaux s’est poursuivie Ă  l’abattoir industriel d’Arcadie Sud-Ouest, prĂšs de Rodez, oĂč sont abattus une partie des agneaux de la SARL L214, les pratiques d’abattages, extrĂȘmement cadencĂ©s, y sont dĂ©faillantes ». Les agneaux sont parfois Ă©gorgĂ©s Ă  vif dans le cadre de l’abattage suite aprĂšs la publicitĂ©Ils peuvent Ă©galement ĂȘtre Ă©tourdis, mais d’aprĂšs les images, la pince d’électrocution est rĂ©guliĂšrement mal placĂ©e, ce qui entraĂźne la saignĂ©e et l’accrochage d’agneaux encore totalement conscients. Mal Ă©tourdis, les agneaux sont tuĂ©s alors qu’ils sont encore ans plus tard, rien n’a changĂ© »Cet abattoir avait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© Ă©pinglĂ© par les services vĂ©tĂ©rinaires en 2016 pour des non-conformitĂ©s majeures ». Le rapport commandĂ© dans le cadre de l’audit gĂ©nĂ©ral exigĂ© par StĂ©phane Le Foll, alors ministre de l’Agriculture, Ă©tait sans appel Le personnel ne connaĂźt pas et n’applique pas les bonnes pratiques en protection animale. »Certains employĂ©s ne disposaient pas des certificats de compĂ©tences requis et utilisaient le mĂȘme couteau sur une quinzaine d’animaux sans rinçage ni stĂ©rilisation du matĂ©riel. La vĂ©rification est insuffisante et inefficace, la rĂ©activitĂ© de l’exploitant est nulle », concluait le les abattoirs, corps-Ă -corps entre la carcasse et l’homme », sont vulnĂ©rables au Covid-19Pour l’association, qui demande la fermeture en urgence de l’établissement, les images montrent que rien n’a changĂ© » quatre ans plus tard. Dans le cadre de son action en justice, l’association a introduit un recours en responsabilitĂ© contre l’État pour manquement Ă  sa mission de contrĂŽle de l’application de la suite aprĂšs la publicitĂ©Quelle responsabilitĂ© de la filiĂšre du roquefort ?Pour SĂ©bastien Arsac, porte-parole de l’association L214, la filiĂšre du roquefort doit prendre ses responsabilitĂ©s. Dans le communiquĂ© de l’association, il dĂ©plore Actuellement, rien n’est exigĂ© pour les agneaux. Comme c’est le cas pour les brebis, il devrait ĂȘtre interdit d’enfermer les agneaux toute leur vie dans des bĂątiments fermĂ©s sans accĂšs au pĂąturage, et l’abattage sans Ă©tourdissement des agneaux et des brebis devrait ĂȘtre prohibĂ©. »L’association demande une modification du cahier des charges de l’AOP Roquefort, indissociable des agneaux qui naissent chaque annĂ©e pour provoquer la lactation des brebis », regrette SĂ©bastien Arsac, porte-parole de l’association L214. Si la filiĂšre met en avant l’accĂšs extĂ©rieur aux brebis, elle passe sous silence le sort des agneaux qui sont engraissĂ©s dans des Ă©levages intensifs. La production de lait et des produits laitiers sont, tout comme celle de viande, Ă  l’origine de grandes souffrances et de la mise Ă  mort prĂ©mĂ©ditĂ©e de millions d’animaux chaque annĂ©e. »Un morceau de roquefort, dans les caves de Ă©leveurs laitiers sont-ils au courant du sort rĂ©servĂ© aux agneaux qu’ils ne gardent pas ? L’association en a rencontrĂ© certains, qui fournissent leur lait Ă  l’entreprise Roquefort SociĂ©tĂ© ». Ils seraient mal Ă  l’aise » vis-Ă -vis de cette question, affirme SĂ©bastien Arsac. Je pense que ça reste problĂ©matique pour eux, on sent une gĂȘne », assure le des vaches Ă  hublot », nouvelle vidĂ©o choc de L214Changer le cahier des chargesPour l’association, ces souffrances sont la consĂ©quence directe de l’activitĂ© fromagĂšre. VĂ©ronique Richez-Lerouge, spĂ©cialiste des fromages AOP et auteure de Main basse sur les fromages AOP » Ed. Erick Bonnier, 2017 prĂ©fĂšre parler de consĂ©quence indirecte ». Des modifications sur le cahier des charges de la production de la viande seraient plus propices Ă  amĂ©liorer le sort des agneaux, souligne-t-elle, avant de pointer le retard de la France dans ce suite aprĂšs la publicitĂ© Est-ce que la filiĂšre du roquefort a vraiment le pouvoir de changer le sort de ces agneaux ? Si ses acteurs disaient leurs inquiĂ©tudes, est-ce que les professionnels de la filiĂšre de la viande les Ă©couteraient ? »Mais pour le responsable de l’association de dĂ©fense des animaux, la stratĂ©gie derriĂšre la demande de modification du cahier des charges est simple faire en sorte que les agneaux issus de la filiĂšre du roquefort AOP ne puissent plus atterrir dans des Ă©levages intensifs oĂč ils sont maltraitĂ©s. Il faut un changement d’organisation. Je pense qu’il faut que cela relĂšve de la responsabilitĂ© de l’éleveur. S’il veut que son lait puisse ĂȘtre collectĂ© pour produire du roquefort AOP, il faudrait qu’il s’engage Ă  ce que ses agneaux ne finissent pas dans des Ă©levages intensifs. Sinon, on lui enlĂšve l’appellation. Si les Ă©leveurs laitiers avaient l’obligation de faire attention au sort des agneaux, ils ne pourraient plus les envoyer dans des Ă©levages intensifs, tels que la SARL Grimal. »L214 encourage par ailleurs les candidats aux Ă©lections municipales Ă  signer l’engagement Une ville pour les animaux » comportant une sĂ©rie de mesures concrĂštes en faveur des animaux. Plus de 300 candidats se sont dĂ©jĂ  engagĂ©s Ă  exclure de la commande publique les produits issus de l’élevage Lesagneaux trĂšs petits ont plus de risques d’ĂȘtre malades et de mourir. L’alimentation des brebis dans le dernier mois de gestation influence directement le poids des agneaux Ă  la naissance. Il faut ĂȘtre prudent, car dans ce dernier mois, les besoins des brebis augmentent et la capacitĂ© d’ingestion diminue. Une RĂ©vĂ©lation de la volontĂ© et des desseins de JĂ©hovah “HEUREUX celui qui lit Ă  haute voix et ceux qui entendent les paroles de cette prophĂ©tie, et qui observent les choses qui y sont Ă©crites.” RĂ©v. 13. Pourquoi peut-​on dire cela de la RĂ©vĂ©lation, alors que ce livre contient essentiellement des symboles et des images ? C’est parce que le sens symbolique de ce livre n’empĂȘche pas les chrĂ©tiens de comprendre quantitĂ© de choses sur la volontĂ© et les desseins de Dieu. Cela leur procure de la joie. Le livre de la RĂ©vĂ©lation fait connaĂźtre les jugements de JĂ©hovah sur les mĂ©chants. D’autre part, il fĂ©licite les serviteurs de Dieu pour leur endurance. Il dĂ©crit aussi la destruction dĂ©finitive qui est rĂ©servĂ©e aux mĂ©chants et le triomphe final de la justice. Sous de nombreux rapports, le livre de la RĂ©vĂ©lation complĂšte trĂšs bien le livre de la GenĂšse. Par exemple, tout comme GenĂšse 11 prĂ©sente la crĂ©ation des cieux et de la terre, de mĂȘme RĂ©vĂ©lation 211 parle d’un nouveau ciel et d’une nouvelle terre. Également, comme la GenĂšse, chapitre trois, rĂ©vĂšle comment le pĂ©chĂ© et la mort sont entrĂ©s dans le monde, ainsi la RĂ©vĂ©lation montre comment ces choses finiront. Ou encore, de mĂȘme que la GenĂšse fait mention d’un arbre de vie et d’une riviĂšre sortant de l’Éden, de mĂȘme la RĂ©vĂ©lation parle d’arbres symboliques de la vie et d’une riviĂšre d’eau de la vie s’écoulant du trĂŽne de Dieu. QUOI ? QUI ? OÙ ? QUAND ? De nombreuses Ă©ditions de la Bible parlent de la RĂ©vĂ©lation comme de “la RĂ©vĂ©lation de saint Jean, le Divin”. Mais cela n’est pas exact. C’est la “RĂ©vĂ©lation de JĂ©sus Christ, que Dieu lui a donnĂ©e pour montrer Ă  ses esclaves les choses qui doivent arriver bientĂŽt. Et il a envoyĂ© son ange et par celui-ci il l’a prĂ©sentĂ©e en signes Ă  son esclave Jean”. — RĂ©v. 11. L’apĂŽtre Jean dit lui-​mĂȘme qu’au moment oĂč il reçut ses visions, il Ă©tait exilĂ© sur l’üle de Patmos “pour avoir parlĂ© de Dieu et rendu tĂ©moignage Ă  JĂ©sus”. RĂ©v. 19. Jean a Ă©tĂ© exilĂ© vers la fin du rĂšgne de l’empereur Domitien, rĂšgne qui se termina en 96. L’apĂŽtre fut libĂ©rĂ© aussitĂŽt aprĂšs. Il est donc possible que Jean reçut cette annĂ©e-​lĂ  les visions qu’il nous rapporta. Quand a-​t-​il consignĂ© ses visions ? Celles-ci sont dĂ©crites avec tant de vivacitĂ© qu’il a dĂ» les mettre par Ă©crit aussitĂŽt aprĂšs les avoir vues. Que telle fut son habitude, c’est ce que confirme le commandement que l’ange lui donna de ne pas Ă©crire immĂ©diatement certaines choses qu’il avait entendues. Cette vision particuliĂšre faisait donc exception. — RĂ©v. 104. MESSAGES AUX SEPT CONGRÉGATIONS Dans la Bible, le chiffre sept est un symbole de plĂ©nitude. La RĂ©vĂ©lation accentue ce fait, car ce nombre apparaĂźt cinquante fois dans ce livre. Par exemple, il est question de sept congrĂ©gations, de sept esprits, de sept porte-lampes et de sept Ă©toiles*. AprĂšs avoir saluĂ© les congrĂ©gations chrĂ©tiennes et fait quelques remarques d’introduction, Jean dĂ©crit une vision glorieuse du Christ ressuscitĂ© puis il entend le CrĂ©ateur parler de lui-​mĂȘme comme de “l’Alpha et l’OmĂ©ga”. RĂ©v. 18. Ensuite, Jean cite les noms des sept congrĂ©gations Ă  qui il envoie des messages. En premier lieu, il complimente la congrĂ©gation d’ÉphĂšse, mais il la reprend parce qu’elle a abandonnĂ© l’amour qu’elle avait au commencement. Il lui promet une rĂ©compense si toutefois elle se repent. De son cĂŽtĂ©, la congrĂ©gation de Smyrne reçoit simplement des fĂ©licitations et la promesse de la couronne de vie Ă  condition de rester fidĂšle jusqu’à la mort. Il fĂ©licite et met en garde les congrĂ©gations de Pergame, de Thyatire et de Sardes. À la congrĂ©gation de Philadelphie, Jean adresse ses fĂ©licitations et lui promet une rĂ©compense. Par contre, la congrĂ©gation de LaodicĂ©e se voit reprocher de n’ĂȘtre ni chaude ni froide. Toutefois, si elle se repent et remporte la victoire, il promet qu’elle sera assise avec JĂ©sus sur son trĂŽne, comme lui aussi a Ă©tĂ© vainqueur et s’est assis avec son PĂšre sur son trĂŽne. — RĂ©v. 21–322. LES SIX SCEAUX SONT OUVERTS Ensuite, dans une vision cĂ©leste, Jean voit le CrĂ©ateur, Ă©blouissant et glorieux, assis sur un trĂŽne, entourĂ© de quatre crĂ©atures resplendissantes et pleines d’yeux, et de vingt-quatre anciens assis sur des trĂŽnes, qui disent “Tu es digne, JĂ©hovah, oui, notre Dieu, de recevoir la gloire, et l’honneur, et la puissance, parce que c’est toi qui as créé toutes choses, et c’est Ă  cause de ta volontĂ© qu’elles ont existĂ© et ont Ă©tĂ© créées.” — RĂ©v. 49-11. Celui qui est assis sur le trĂŽne a un rouleau scellĂ© de sept sceaux. Jean pleure parce que personne ne peut ouvrir les sceaux. Puis, JĂ©sus Christ, le Lion de la tribu de Juda, est dĂ©signĂ© comme celui qui est digne d’ouvrir les sceaux. Des louanges sont donc adressĂ©es Ă  JĂ©hovah et Ă  l’Agneau. — RĂ©v. 511, 12. Dans le chapitre six, Jean assiste Ă  l’ouverture des sceaux. Quand le premier sceau est ouvert, un guerrier juste et victorieux apparaĂźt montĂ© sur un cheval blanc. Il s’agit de JĂ©sus Christ. L’ouverture des trois autres sceaux rappelle la grande prophĂ©tie de JĂ©sus sur les guerres, les famines et les pestes, qui font partie du “signe” de la fin du systĂšme mondial Luc 217, 10, 11. À l’ouverture du cinquiĂšme sceau, Jean voit les martyrs chrĂ©tiens demander que leur sang soit vengĂ©. Quand le sixiĂšme sceau est ouvert, une grande secousse Ă©branle le ciel et la terre, ce qui fait craindre aux hommes la colĂšre prochaine de Dieu. Le chapitre sept montre quatre anges retenant le courroux de Dieu jusqu’à ce que les 144 000 IsraĂ©lites spirituels soient tous scellĂ©s. AprĂšs cela, Jean voit une foule innombrable qui vient de la grande tribulation et qui attribue la gloire, l’honneur et le salut Ă  JĂ©hovah Dieu et Ă  son Agneau, JĂ©sus Christ. — RĂ©v. 71-17. SEPT ANGES SONNENT DE LA TROMPETTE Avec l’ouverture du septiĂšme sceau, une brĂšve allusion est faite aux priĂšres des saints et ensuite sept anges se prĂ©parent Ă  sonner de la trompette. Cinq de ces anges, l’un aprĂšs l’autre, sonnent de la trompette. Puis, les effets de ces sonneries sont dĂ©crites dans un langage trĂšs symbolique pour Ă©voquer la punition des mĂ©chants sur la terre. Avec la sonnerie de la sixiĂšme trompette, Jean est averti qu’à la fin de la sonnerie de la septiĂšme trompette le mystĂšre de Dieu sera accompli. Ensuite Jean se voit remettre un rouleau qu’il doit manger. Dans sa bouche, ce rouleau est doux comme du miel, mais dans son ventre, il devient amer. Jean reçoit l’ordre de mesurer le temple-sanctuaire. On lui parle de serviteurs qui, symbolisĂ©s par “deux tĂ©moins”, prophĂ©tisent pendant 1 260 jours, vĂȘtus de sacs et couverts de cendre. AprĂšs cela, et Ă  la plus grande joie de leurs ennemis, ils sont tuĂ©s, mais ensuite ils sont ressuscitĂ©s et Ă©levĂ©s. — RĂ©v. 81 Ă  1113. Au moment oĂč le septiĂšme ange sonne de la trompette, Jean entend la proclamation suivante “Le royaume du monde est devenu le royaume de notre Seigneur et de son Christ, et il rĂ©gnera Ă  tout jamais.” Alors, les vingt-quatre anciens adorĂšrent Dieu et dirent “Nous te rendons grĂące, JĂ©hovah Dieu, le Tout-Puissant, Celui qui est et qui Ă©tait, car tu as pris ta grande puissance et tu as commencĂ© Ă  rĂ©gner.” — RĂ©v. 1115-18. Au moyen d’une image, le chapitre douze montre en dĂ©tail ce qui est arrivĂ© par la suite. Jean voit une femme vĂȘtue du soleil, avec la lune sous ses pieds, et qui porte une couronne de douze Ă©toiles. Elle donne naissance Ă  un enfant mĂąle qui doit gouverner les nations avec une verge de fer. Puis une guerre Ă©clate dans les cieux. Michel et ses anges luttent contre le dragon et ses anges. Michel sort vainqueur du combat et le dragon, Satan le Diable, le serpent originel, est jetĂ© avec ses armĂ©es sur la terre. Mais, pour son malheur, la terre va en subir les consĂ©quences, car le Diable sait que maintenant ses jours sont comptĂ©s. LA BÊTE SAUVAGE S’OPPOSE AUX SAINTS Au chapitre treize, Jean dĂ©crit une bĂȘte sauvage ayant sept tĂȘtes et dix cornes, qui blasphĂšme Dieu et fait la guerre aux saints de Dieu. Mais voici une autre bĂȘte. Cette derniĂšre encourage les habitants de la terre Ă  adorer la bĂȘte sauvage et Ă  en faire une image. Elle force tout le monde Ă  adorer la bĂȘte et Ă  recevoir sa marque. Le nombre de cette bĂȘte est 666. Toutefois, elle n’a pas eu raison de tous les hommes, car ensuite Jean voit ceux qui se tiennent avec l’Agneau sur le mont Sion. Ils sont victorieux et ils sont restĂ©s sans tache. Ce sont les prĂ©mices. Un ange, ayant une bonne nouvelle Ă©ternelle Ă  dĂ©clarer, vole par le milieu du ciel. Il conjure tous les habitants de la terre de craindre Dieu et de lui donner gloire’. Puis un autre ange met en garde tous ceux qui succombent aux pressions de la bĂȘte sauvage. Mais, en raison de leur endurance, les saints reçoivent cette promesse “Heureux les morts qui meurent en union avec le Seigneur.” De nouveau un ange apparaĂźt. Il annonce que la vendange de la vigne de la terre est en cours et que ses raisins sont foulĂ©s dans un grand pressoir. — RĂ©v. 141-20. Le chapitre quinze reprĂ©sente ceux qui ont remportĂ© la victoire sur la bĂȘte sauvage et son image, louant Dieu, le Seul juste et vrai. Dans la scĂšne suivante, sept anges, ayant sept bols de la colĂšre de Dieu, versent leurs bols sur les diffĂ©rentes parties du monde mĂ©chant. AprĂšs que l’ange a versĂ© le sixiĂšme bol, il est rĂ©vĂ©lĂ© que des messages impurs, parce qu’inspirĂ©s par les dĂ©mons, rassemblent toutes les nations pour la guerre du grand jour de Dieu le Tout-Puissant Ă  Har-MaguĂ©don. — RĂ©v. 1614, 16. BABYLONE ET SES PROTECTEURS SONT VAINCUS Dans les dix-septiĂšme et dix-huitiĂšme chapitres RĂ©v 17, 18, Babylone la Grande est dĂ©peinte sous les traits d’une mĂšre de prostituĂ©es, montĂ©e sur le dos d’une bĂȘte sauvage qui a sept tĂȘtes et dix cornes. Toutefois, les dix cornes ne tarderont pas Ă  la mettre Ă  nu, Ă  la dĂ©vaster et Ă  la brĂ»ler par le feu. Babylone Ă©tant condamnĂ©e, Dieu demande instamment Ă  son peuple de la fuir pour ne pas participer Ă  ses pĂ©chĂ©s et ne pas recevoir de ses plaies. Par contre, ses amis politiques de ce monde et les marchands itinĂ©rants mĂšnent deuil parce que sa destruction leur a fait subir une perte importante. Mais une voix cĂ©leste nous dit qu’en dĂ©truisant Babylone la Grande, Dieu venge le sang de ses saints. Le chapitre dix-neuf dĂ©bute par ce commandement “Louez Jah !” Cet ordre est rĂ©pĂ©tĂ© Ă  trois reprises. Pourquoi ? Parce que JĂ©hovah a exĂ©cutĂ© son jugement sur la grande prostituĂ©e, parce qu’il a commencĂ© Ă  rĂ©gner en tant que Roi et que le temps est arrivĂ© pour le mariage de l’Agneau et de l’épouse. Puis c’est le dĂ©part de Celui qui est fidĂšle et vrai, l’Agneau de Dieu, avec ses armĂ©es pour livrer bataille aux rois de la terre et Ă  leurs armĂ©es. Ces derniers sont tous mis Ă  mort par l’épĂ©e. LES MILLE ANS Pendant mille ans Satan le Diable sera dans l’abĂźme, incapable d’influencer les hommes. Aussi, quand il sera dĂ©liĂ© pour une courte pĂ©riode de temps, quels efforts ne fera-​t-​il pas pour Ă©garer les hommes sur la terre ! Mais tous ceux qui ne lui rĂ©sisteront pas subiront le mĂȘme sort que lui, c’est-Ă -dire la mort. Avant qu’il ne soit dĂ©truit et pendant les mille ans, tous ceux qui sont dans l’HadĂšs seront ressuscitĂ©s. Jean vit aussi Dieu rĂ©sider avec les humains, comme par le moyen d’une tente, et mettre fin aux larmes, Ă  la douleur, au chagrin et Ă  la mort. Toutes ces choses seront menĂ©es Ă  bonne fin par l’Époux JĂ©sus Christ et la Nouvelle JĂ©rusalem, semblable Ă  une belle Ă©pouse, figurĂ©e par une ville Ă©tincelante d’or et de pierres prĂ©cieuses. Quel glorieux aboutissement ! Tout le tort causĂ© par Satan depuis l’Éden est dĂ©sormais effacĂ©. — RĂ©v. 201 Ă  225. Une fois de plus, ceux qui observent les paroles de cette prophĂ©tie sont proclamĂ©s “heureux”. Ensuite, tous ceux qui entendent sont invitĂ©s Ă  prendre gratuitement l’eau de la vie. Par contre, ceux qui ajouteraient ou retrancheraient des paroles de cette prophĂ©tie sont prĂ©venus du chĂątiment qu’ils encourraient. À tous ceux qui entendent, JĂ©sus promet de venir promptement, et Jean de rĂ©pondre “Amen ! Viens, Seigneur JĂ©sus.” — RĂ©v. 227-21. LA RÉVÉLATION UN LIVRE TRÈS UTILE AUX CHRÉTIENS Bien que le livre de la RĂ©vĂ©lation soit presque entiĂšrement symbolique, ses dĂ©clarations franches nous fournissent vraiment une abondante nourriture spirituelle ainsi que de bons conseils et encouragements. Par exemple, il nous sera particuliĂšrement utile d’examiner les messages destinĂ©s aux sept congrĂ©gations d’Asie Mineure. Ils soulignent Ă  plusieurs reprises l’importance d’endurer et de cultiver la merveilleuse espĂ©rance de voir la justice triompher dĂ©finitivement RĂ©v. 19 ; 23, 19 ; 310 ; 1310 ; 1412. Ce livre parle aussi d’un bout Ă  l’autre du culte de JĂ©hovah. Il invite les hommes Ă  l’adorer et les encourage Ă  honorer le CrĂ©ateur, JĂ©hovah Dieu, et l’Agneau. Il est Ă  remarquer que de part et d’autre, la Bible fait la lumiĂšre sur certains symboles employĂ©s dans la RĂ©vĂ©lation. Daniel emploie l’image de bĂȘtes pour dĂ©peindre des empires puissants. Cela nous aide Ă  identifier les bĂȘtes de la RĂ©vĂ©lation comme Ă©tant des puissances politiques. — Comparez Daniel 72-26 ; 83-25 avec RĂ©vĂ©lation 131-18 ; 173-17 ; 1919, 20. Pareillement, dans les Écritures hĂ©braĂŻques, un peuple apostat est comparĂ© Ă  une prostituĂ©e És. 121 ; ÉzĂ©ch. 231-49. Ainsi, nous arrivons Ă  la conclusion que Babylone la Grande, la mĂšre des prostituĂ©es, doit ĂȘtre un immense empire religieux qui s’est livrĂ© de lui-​mĂȘme Ă  la prostitution. — RĂ©v. 171-6 ; 181-24. En outre, nous retiendrons qu’un nombre important de vĂ©ritĂ©s ne se trouvent que dans la RĂ©vĂ©lation. JĂ©sus dĂ©signe ses disciples par l’expression “petit troupeau”, mais seule la RĂ©vĂ©lation nous en indique le nombre restreint 144 000 Luc 1232 ; RĂ©v. 74-8 ; 141, 3. JĂ©sus parle aussi des “autres brebis”, mais c’est uniquement dans la RĂ©vĂ©lation que nous trouvons une image de la “grande foule”. De plus, il y est prĂ©cisĂ© qu’elle vient de la “grande tribulation”. Jean 1016 ; RĂ©v. 79-14. Seule la RĂ©vĂ©lation indique l’endroit oĂč les forces de JĂ©hovah et celles de Satan s’affronteront, c’est-Ă -dire Ă  Har-MaguĂ©don RĂ©v. 1614, 16. JĂ©sus et Paul ont enseignĂ© la rĂ©surrection d’entre les morts, mais lĂ  encore la RĂ©vĂ©lation est le seul livre de la Bible Ă  nous apprendre qu’il y aura une “premiĂšre rĂ©surrection” et une rĂ©surrection du reste de l’humanitĂ© Jean 528, 29 ; Actes 2415 ; RĂ©v. 205, 6. C’est aussi seulement dans la RĂ©vĂ©lation que nous voyons une image glorieuse de la Nouvelle JĂ©rusalem qui descend comme une Ă©pouse parĂ©e pour son Ă©poux. — RĂ©v. 212. IndĂ©niablement la RĂ©vĂ©lation nous dĂ©voile quels sont la volontĂ© et les desseins de Dieu envers son peuple et l’humanitĂ©. De plus, la RĂ©vĂ©lation ne contient-​elle pas une bonne nouvelle, celle du triomphe final de la justice ? Quel accent ne met-​elle pas sur l’endurance que nous devons manifester afin que nous sortions victorieux, et sur les louanges que nous devons adresser Ă  JĂ©hovah et Ă  son Agneau, JĂ©sus Christ ! De plus, ce livre n’occupe-​t-​il pas une place appropriĂ©e Ă  la fin du recueil de “petits livres” que comprennent les Écritures inspirĂ©es ? Vraiment, heureux sont ceux qui lisent, entendent et observent les choses Ă©crites dans ce livre’, Ă  condition toutefois d’en saisir le sens. [Note] Pour un examen dĂ©taillĂ©, verset par verset, de la RĂ©vĂ©lation, voir le livre “Alors sera consommĂ© le mystĂšre de Dieu”, qui explique les treize premiers chapitres 1 Ă  13, et le livre “Babylone la Grande est tombĂ©e !” Le Royaume de Dieu a commencĂ© son rĂšgne !, qui couvre les chapitres 14 Ă  22. Plusde 5 millions de moutons ont Ă©tĂ© abattus en France en 2018 1, dont plus de 80 % d’agneaux de moins d’un an2. En France, environ 160 abattoirs permanents sont agréés pour les tuer 3. Pendant la pĂ©riode prĂ©cĂ©dant la fĂȘte religieuse de l’AĂŻd el-KĂ©bir, des Ă©tablissements temporaires peuvent Ă©galement s’y ajouter 4. Les animaux sont Ă©levĂ©s en respectant le cahier des charges de l’AOP qui impose notamment – L’élevage de races locales adaptĂ©es Ă  l’élevage de plein air et herbager. Sur la ferme, il s’agit de Suffolk, Roussin et VendĂ©en. – Au moins la moitiĂ© de la vie des Agneaux est passĂ©e sur les herbus =prĂ©-salĂ©s et minimum 70 jours de pĂąturage maritime – Une complĂ©mentation en cĂ©rĂ©ales limitĂ©e 30 jours maximum – Un approvisionnement local des cĂ©rĂ©ales l’hiver – L’absence d’OGM La viande se distingue par sa couleur rosĂ©e, sa tendretĂ© et l’implantation de gras intramusculaire appelĂ© aussi persillĂ©. Ces qualitĂ©s sont Ă©troitement liĂ©es Ă  la flore unique qui compose les pĂąturages des prĂ©-salĂ©s obiones, salicornes, puccinellie, 
 Notre Agneau de prĂ©-salĂ© du Mont Saint-Michel AOP et ceux des nos voisins sont disponibles chez les bouchers et restaurateurs suivants. Commande d’agneau en direct La commande directe au producteur permet de s’assurer de l’origine des produits, de faire des Ă©conomies, et de se rencontrer ! Nous proposons des colis d’Agneau entier ou de demi agneau dĂ©coupĂ©, en vrac ou emballĂ© sous-vide et Ă©tiquetĂ©. Un colis d’un demi-agneau contient – 1 gigot – 1 Ă©paule – des cĂŽtelettes et cĂŽtes une douzaine – une demi poitrine – du collier Les colis de demi-agneau font entre 7 et 10 kg. Un agneau entier correspond Ă  deux colis de demi-agneau. Les colis sont Ă  venir chercher Ă  la ferme, des livraisons sont organisĂ©es quand un nombre suffisant de commande est atteint. Voici les dates de vente Ă  la ferme pour 2022. Vous pouvez envoyer vos commande par sms avec la date de votre choix. – Vendredi 9 septembre – Lundi 12 septembre – Vendredi 23 septembre – Lundi 26 septembre – Vendredi 7 octobre – Lundi 10 octobre – Vendredi 21 octobre – Lundi 24 octobre – Vendredi 4 novembre – Lundi 7 novembre – Vendredi 18 novembre – Lundi 21 novembre – Vendredi 2 dĂ©cembre – Lundi 5 dĂ©cembre – Vendredi 16 dĂ©cembre – Lundi 19 dĂ©cembre NOUVEAU nous avons Ă©galement une boutique en ligne permettant de commander et d’ĂȘtre livrĂ© partout en France ! Les tarifs intĂšgrent les frais de livraison et de paiement web. Pour ĂȘtre informĂ© des prochaines ventes, merci de vous inscrire en cliquant sur le lien suivant Recettes Vous trouverez bientĂŽt ici des idĂ©es de recettes pour chaque partie de l’agneau. De maniĂšre gĂ©nĂ©rale nous recommandons de privilĂ©gier les cuissons basse tempĂ©rature et de limiter au minimum l’assaisonnement afin de conserver toutes les qualitĂ©s gustatives de la viande de prĂ© salĂ©. L’Agneau ne doit pas ĂȘtre trop cuit pour conserver toute sa saveur, rosĂ© et juteux Ă  coeur. – Gigot au four – Epaule effilochĂ©e en burger – Cotelettes et Poitrine au barbecue – Poitrine façon ribs – Poitrine roulĂ©e et braisĂ©e – Collier en tajine – Gigot au four basse tempĂ©rature Les cuissons basse-tempĂ©rature permettent de conserver la saveur et les qualitĂ©s nutritives. Ici nous proposons une recette simple pour la cuisson d’un gigot d’environ 2kg Ă  110°C pendant 4 heures. – PrĂ©chauffer votre four Ă  110°C avec une grille et un lĂšche-frite rempli d’eau sous la grille – Placer le gigot dans un plat ouvert, saler, poivrer, piquer la viande avec deux gousses d’ail et recouvrir d’un filet d’huile d’olive – Placer le plat dans le four sur la grille – Laisser cuire pendant environ 4 heures Ă  110°C Veillez Ă  ce qu’il y ait toujours de l’eau dans le lĂšche-frite pour Ă©viter que le gigot ne se dĂ©ssĂšche. Pour une cuisson optimale il est recommandĂ© d’utiliser un thermomĂštre sonde pour vĂ©rifier rĂ©guliĂšrement la tempĂ©rature Ă  coeur. Le gigot sera saignant Ă  peine rosĂ© quand la tempĂ©rature atteindra 60°C, rosĂ© Ă  65°C et bien cuit au delĂ  de 70°C Ă  coeur. Le gigot peut ĂȘtre accompagnĂ© de riz, pommes de terre ou coco de Paimpol ! Epaule effilochĂ©e en burger – PrĂ©chauffer votre four Ă  110°C – Placer l’épaule dans un faitout, saler, poivrer et recouvrir d’un filet d’huile d’olive – Fermer le faitout et mettre au four pendant 5 heures – Sortie du four la viande est confite et a rendu du jus – Effilocher l’épaule Ă  la fourchette et humidifier la viande avec le jus – Placer la viande effilochĂ©e entre deux pains burger toastĂ© et servir encore chaud Cette recette se marie trĂšs bien avec des falafels et une sauce Ă  la menthe, ou bien des frites ! La suite bientĂŽt ! yBBaYH.
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  • agneau mort dans le ventre de la brebis